Contributed seminar papers on Vedic theory of creation, philosophy and science.

The works of the early Greek philosophers are not only a fundamental source for understanding archaic Greek culture and the whole of ancient philosophy, but also a perennially fresh resource that has stimulated Western thought until the present day. This nine-volume edition presents all the major fragments from the sixth to the fourth centuries BC.

Biography of Madhva, d. 1386, exponent of Dvaita philosophy.

On the life, achievements, and preachings of five Hindu leaders of Sringeri Mutt, in Sringeri, Karnataka, India.

Cet ouvrage s'inscrit dans la série des travaux que le Centre de Recherche Philosophique de l'Université de Lille III consacre à l'étude des cosmologies grecques. Après le système classique d'Empédocle et la réflexion critique d'Epicure à l'époque hellénistique, on s'intéresse ici à un penseur charnière, le dernier représentant de l' "ancienne physique".La notoriété de Diogène d'Apollonie est faible, au-delà du cercle restreint des spécialistes du Ve siècle grec. Ce tard venu n'a pas le renom d'Anaximandre ou d'Empédocle, ni celui de (...) Démocrite, dont il est contemporain. Et pourtant, sa pensée n'est pas seulement l'ultime avatar d'une lignée dont il serait au fond indigne. Elle représente au contraire une forme d'achèvement, offrant une solution possible, dans le cadre du paradigme cosmologique hérité, au problème, laissé ouvert par le système d'Anaxagore, du mode d'action de "l'intellect" (νούς) dans le monde. La pertinence et la spécificité de la démarche, qui induit une doctrine de l'immanence, ressortent clairement quand on la confronte avec la célèbre critique d'Anaxagore menée par Socrate au nom de la téléologie dans le Phédon de Platon, et qui signe l'arrêt de mort de la spéculation présocratique. (shrink)

daftar-i avval. Nishastʹhā va guftigūhā -- jild-i duvvum. Mabāḥis̲-i naẓarī, tārīkhī va kārburdī -- jild-i sivvum. Insān, imāmat, siyāsat -- jild-i chahārum. Akhlāq va siyāsat.

Commemoration volume of Mahamahopadhyaya Bālakr̥ṣṇa Misŕa, 1887-1943, Sanskrit author; contributed research papers on Hindu philosophy, Sanskrit grammar and Vedic literature and some on his life and works.

When we talk about Presocratic philosophy, we are speaking about the origins of Greek philosophy and Western rationality itself. But what exactly does it mean to talk about “Presocratic philosophy” in the first place? How did early Greek thinkers come to be considered collectively as Presocratic philosophers? In this brief book, André Laks provides a history of the influential idea of Presocratic philosophy, tracing its historical and philosophical significance and consequences, from its ancient antecedents to its full crystallization in (...) the modern period and its continuing effects today. Laks examines ancient Greek and Roman views about the birth of philosophy before turning to the eighteenth-century emergence of the term “Presocratics” and the debates about it that spanned the nineteenth and twentieth centuries. He analyzes the intellectual circumstances that led to the idea of Presocratic philosophy—and what was and is at stake in the construction of the notion. The book closes by comparing two models of the history of philosophy—the phenomenological, represented by Hans-Georg Gadamer, and the rationalist, represented by Ernst Cassirer—and their implications for Presocratic philosophy, as well as other categories of philosophical history. Other figures discussed include Plato, Aristotle, Cicero, Diogenes Laertius, Schleiermacher, Hegel, Nietzsche, Max Weber, and J.-P. Vernant. Challenging standard histories of Presocratic philosophy, the book calls for a reconsideration of the conventional story of early Greek philosophy and Western rationality. (shrink)

Michael Frede est brusquement décédé cet été, le 11 août 2007, lors d’une baignade, à Agios Minas, une crique à l’est d’Itea, dans le golfe de Corinthe, le dernier jour du « Symposium Hellenisticum » qui se tenait à Delphes, et qui était consacré au Contre les physiciens de Sextus Empiricus. Cette triste nouvelle n’aura pas seulement désolé ses proches, ses amis et ses élèves ; elle touche toute la communauté des historiens de la philosophie antique, dont Michael Frede était (...) l’un des plus émi... (shrink)

Nine leading scholars of ancient philosophy from Europe, the UK, and North America offer a systematic study of Book Beta of Aristotle's Metaphysics. The work takes the form of a series of aporiai or 'difficulties' which Aristotle presents as necessary points of engagement for those who wish to attain wisdom. The topics include causation, substance, constitution, properties, predicates, and generally the ontology of both the perishable and the imperishable world. Each contributor discusses one or two of these aporiai in sequence: (...) the result is a discursive commentary on this seminal text of Western philosophy. (shrink)

An argument for why Plato’s Laws can be considered his most important political dialogue In Plato's Second Republic, André Laks argues that the Laws, Plato’s last and longest dialogue, is also his most important political work, surpassing the Republic in historical relevance. Laks offers a thorough reappraisal of this less renowned text, and examines how it provides a critical foundation for the principles of lawmaking. In doing so, he makes clear the tremendous impact the Laws had not only (...) on political philosophy, but also on modern political history. Laks shows how the four central ideas in the Laws—the corruptibility of unchecked power, the rule of law, a “middle” constitution, and the political necessity of legislative preambles—are articulated within an intricate and masterful literary architecture. He reveals how the work develops a theological conception of law anchored in political ideas about a god, divine reason, that is the measure of political order. Laks’s reading opens a complex analysis of the relationships between rulers and citizens; their roles in a political system; the power of reason and persuasion, as opposed to force, in commanding obedience; and the place of freedom. Plato's Second Republic presents a sophisticated reevaluation of a philosophical work that has exerted an enormous if often hidden influence even into the present day. (shrink)

Le Centre de Recherche Philologique de l'Université de Lille III publie ici, dans un premier cahier, quelques études consacrées à l'histoire de l'épicurisme, qui est l'objet d'une des activités principales. Les travaux de ses membres ont en commun d'insister sur l'examen approfondi de la lettre du texte, où nous voyons la condition d'un renouvellement de la compréhension. La critique de la tradition interprétative fait partie de ce réexamen, dont le le lieu privilégié se trouve dans des textes qui, se situant (...) eux-mêmes dans une continuité remarquable, comme le poème de Lucrèce et le mur d'Oenoanda, imposent une réflexion sur les modes de l'actualisation dans le cadre d'une orthodoxie essentielle. Nous sommes heureux de publier en même temps les travaux d'hôtes du Centres et en particulier les dernières découvertes de Martin F. Smith à Oenoanda, qui marquent une nouvelle étape de la connaissance de l'inscription de Diogène. David Sedley qui a présenté à Lille, dans une série de séminaires, les problèmes posés par l'interprétation des papyrus du Péri Phuseôs d'Epicure, reprend ici l'analyse de quelques parties de la Vie de Diogène Laërce, complétant heureusement le commentaire de ce texte par André Laks. P.H. Schrijvers explique, à propos d'un chapitre de la physiologie, de quelle manière doit être reprise, slon lui, la question des "sources" de Lucrèce, considérées comme la matériel d'une culture scientifique globale. Diskin Clay, qui entretient avec le Centre des relations suivies et déjà aniciennes, communique, sur ce sujet, les éléments d'une réflexion de portée générale. (shrink)

Les cinq contributions que l’on va lire ont été présentées et discutées lors d’une journée d’étude organisée par Leopoldo Iribarren et André Laks (Centre Léon Robin, UMR 8061) les 11 et 12 février 2011 dans le cadre du programme ANR « Présocratiques Grecs/Présocratiques latins » (ANR Blanc ANR 08‑BLAN‑0063‑01, responsable A. Laks). Couvrant quelques aspects centraux ou représentatifs de la pratique pré‑aristotélicienne de l’analogie et de la réflexion (le plus souvent implicite) dont celle-ci...

Cet article est consacré au fragment B23 d’Empédocle, où l’auteur met en relation la génération des espèces vivantes à partir des quatre éléments avec l’art pictural dont les productions résultent des divers mélanges d’un nombre limité de pigments. La première partie aborde la dimension heuristique de l’analogie dans le cadre du récit cosmologique, notamment la question de la correspondance entre comparans et comparandum. À l’intérieur de cette relation, un problème grammatical et théorique retient mon attention : alors que le sujet (...) et les verbes du fragment sont au pluriel, les procédés des peintres sont exprimés par des participes au duel. Ces duels ont souvent été interprétés comme des allusions aux deux puissances cosmiques d’Empédocle, l’Amour et la Haine. Prenant appui sur l’interprétation récente du cycle cosmique donnée par Oliver Primavesi, selon laquelle même dans la période où la Haine domine, l’Amour reste le principe de production des espèces mortelles, je propose d’interpréter les duels comme une allusion aux mains de Cypris, l’une des personnifications du pouvoir démiurgique de l’Amour. En ce sens, la lecture que je propose ici de l’analogie s’avère compatible avec les deux courants interprétatifs principaux de la zoogonie d’Empédocle (unique/double). Dans la deuxième partie de l’article, j’analyse l’écart réflexif que l’analogie des peintres introduit par rapport à deux formes de discours contemporaines d’Empédocle qui thématisent la question de la représentation : d’une part, la tradition lyrique, notamment Simonide et Pindare ; de l’autre, le poème philosophique de Parménide. (shrink)

This article takes up Diogenes again, investigating some of the reasons Diogenes has been unappreciated, and making a case for Diogenes' mind-based teleology as a significant philosophical contribution. The sophists, too, have suffered from the charge, which goes back to Plato, of not being “real” philosophers. Diogenes did not bother himself with, or was not interested in, showing in what sense the world is organized in the best possible manner; this looked to him as something that happened as a matter (...) of course. What did interest him, on the other hand, was to show what the thing that exercised intelligence is. From this point of view, the emphasis is definitely not on teleology, but rather on noetics. Here, primary textual evidence is available, for the fragments, as well as Simplicius's presentation of them, definitely support the view that the point of Diogenes' argumentation was to show that intelligence is air's. (shrink)

En la Poética, Aristóteles define la metáfora como la transferencia de un nombre de un dominio extraño a otro. Si, como en la doctrina clásica de los tropos, vemos en ella un término figurado, que sustituye al término propio, la metáfora reviste un valor puramente ornamental y el discurso podría en principio prescindir de ella. La metáfora moderna, en cambio, tiene la ambición de ofrecer una redescripción del mundo, es una metáfora viva, y por tanto cognitiva. La cuestión es saber (...) en qué medida esa concepción cognitiva de la metáfora puede apoyarse en el análisis de Aristóteles, como Ricœur lo hace. La respuesta es sí, pero no, dado que la cognición de la cuál Aristóteles habla con relación a la metáfora es una cognición de tipo especial, una “cuasi-cognición”. (shrink)

The Derveni papyrus is the oldest literary papyrus ever found, and one of the very few from Greece itself, which makes it one of the most interesting new texts from the ancient Greek world to have been discovered this century. The eschatological doctrines and an allegorical commentary on an Orphic theogony in terms of Presocratic physics which it contains make it a uniquely important document for the history of ancient Greek religion, philosophy, and literary criticism. This book is the first (...) to have been published on the text. It includes a full and reliable translation of the Papyrus together with a range of articles by leading European and American classicists who are internationally recognised experts in Greek religion and philosophy. Professor K. Tsantsanoglou, who will publish the papyrus when work on it is complete, presents important new material and has checked all the articles against the Papyrus. Thus for the first time, material is provided which will authorize scholarship upon the Papyrus in a way hitherto impossible, will stimulate further work on it, and will make the book a standard reference work on the subject for years to come. (shrink)

La première édition de La Naissance du paradigme herméneutique remonte à 1990.

It is well known that when it comes to perception in the De anima, Aristotle uses affection-related vocabulary with extreme caution. This has given rise to a debate between interpreters who hold that in Aristotle’s account, the act of sense-perception nevertheless involves the physiological alteration of the sense organ (Richard Sorabji), and those think, with Myles Burnyeat, that for Aristotle, perception does not involve any material process, so that an Aristotelian physics of sense-perception is a “physics of forms alone”. The (...) present article suggests that the dematerialisation of Aristotle’s theory of perception, which has a long story from Alexander of Aphrodisias to Brentano, may be in fact traced back to Theophrastus’ exegesis of Aristotle’s relevant passages in the De anima in his Physics, as we can reconstruct it on the basis of Priscian’s Metaphrasis in Theophrastum and Simplicius’ commentary of Aristotle’s De Anima. The reconstruction also provides a scholastic-theoretical frame to Theophrastus’ critical exposition of ancient theories about sense perception in his De sensibus, whether or not the discussion originally belonged to Theophrastus’ Physics. (shrink)

Le développement conjoint, au cours du XVIIIe siècle, de la méthode historico-critique et du perspectivisme est à l'origine d'une tension nouvelle dans le traitement de l'histoire de la philosophie. L'article analyse brièvement quelques réactions, plus ou moins radicales, à cette configuration féconde. Zeller, Dilthey, Yorck, Nietzsche, Weber, Heidegger, Rorty, sont les principaux témoins. Il est aussi suggéré que la « doxographie », en dépit de la réputation détestable dont elle jouit, aussi bien chez les historiens que chez les philosophes, demeure (...) une composante importante de toute réflexion sur la relation de la philosophie à son passé. The joint development, in the course of the XVIIIth century, of the historico-critical method on the one hand and of a self-conscious perspectivism on the other hand, created a new tension in the handling of the history of philosophy. In the following, I sketch some characteristic ways, hard or more compromising, of dealing with this lasting and, I suggest, productive tension. Zeller, Dilthey, Yorck, Nietzsche, Weber, Heidegger, Rorty are my main witnesses. In the wake of an analysis made by M. Frede, I also suggest, in the light of this tension, that « doxography », despite the detestable reputation the genre has among philosophers and historians of philosophy alike, remains an important component of any reflexion about the relationship between philosophy and its past. (shrink)

A critical notice of T. Kouromenos, G. M. Parássoglou, K. Tsantsanoglou, The Derveni Papyrus. Edited with Introduction and Commentary, Studi e Testi per il Corpus dei Papiri Filosofici Greci e Latini 13, Leo Olschki, Firenze, 2006.

Ada Neschke-Hentschke est décédée en juillet 2013 dans sa maison de La Laupie (Drôme), en pleine santé, alors qu’elle s’apprêtait à sortir pour aller écouter un concert. Elle avait en 2006 pris sa retraite de l’Université de Lausanne, où elle occupait depuis 1991 la chaire de Philosophie antique, après avoir enseigné plusieurs semestres comme professeur invitée par le Centre de recherche philologique à l’Université Charles de Gaulle/ Lille 3 et en 1989-1990 à Louvain-la-Neuve, dans la chaire...

Does Anaxagoras admit that the world is destructible? Aëtius’ doxographical handbook says as much, and so does a doxographical scholion derived from Alexander of Aphrodisias’ lost commentary on Aristotle’sPhysics(Frag. 539 Rashed) according to the transmitted text. However, because of other difficulties occurring in the same scholion, Rashed was led to correct not only this text, thus making it contradict Aëtius’ testimony, but also the entry dedicated to Plato. My article suggests that while Rashed’s corrections are superfluous, the problems that triggered (...) them are of great interest for the history of the doxographical tradition, for the way in which this tradition was used by Alexander of Aphrodisias and Simplicius in their commentaries on Aristotle’sPhysicsand, last but not least, for the understanding of the difficulties that ancient interpreters had to confront when they had to make sense of the lines now known as Anaxagoras B12 DK – difficulties that modern interpreters have still to confront. (shrink)

This essay aims at establishing that the word “free” (eleutheros) and related terms are used by Plato in the Laws in two main senses. There is, first, the constitutional meaning of “freedom” which is put to work in book 3 in order to analyze moderately good and degenerate forms of historical constitutions. Strikingly enough, this meaning does not play any subsequent role in the shaping of the Platonic constitution itself—a fact which requires some kind of explanation. There is, then, scattered (...) throughout the work, the behavioral meaning of “freedom” according to which the citizens of Magnesia, who are free in the sense that they are free men, are supposed to behave as such and to be educated accordingly, that is as “gentlemen.” One important aspect here is that a free education will appeal to rationality. The philosophically interesting fact, however, is that there appears to be no intrinsic link for Plato between freedom and rationality, as we might expect on the basis of modern philosophical assumptions whereby freedom is grounded on rationality. Rather, freedom is the condition for exercising rationality, because this exercise takes time. True, there is in the Laws a unique occurrence of yet another conception of “freedom” according to which one is free when one's reason masters one's desires. One might speculate why Plato did not develop this specific conception of freedom, which is in some sense closer to some modern views about liberty, as is shown, for example, from I. Berlin's concept of “positive liberty.” Footnotesa I would like to thank the editors for revising the English of this paper, as well as for a further series of useful suggestions. (shrink)

Hegel's often-echoed verdict on the apolitical character of philosophy in the Hellenistic age is challenged in this collection of new essays, originally presented at the sixth meeting of the Symposium Hellenisticum. An international team of leading scholars reveals a vigorous intellectual scene of great diversity: analyses of political leadership and the Roman constitution in Aristotelian terms; Cynic repudiation of the polis - but accommodation with its rulers; Stoic and Epicurean theories of justice as the foundation of society; Cicero's moral critique (...) of the traditional political pursuit of glory. The volume as a whole offers a fresh and comprehensive guide to the main currents of social and political philosophy in a period of increasing interest to classicists, philosophers and cultural and intellectual historians. (shrink)

Hegel's often-echoed verdict on the apolitical character of philosophy in the Hellenistic age is challenged in this collection of essays, originally presented at the sixth meeting of the Symposium Hellenisticum. An international team of leading scholars reveals a vigorous intellectual scene of great diversity: analyses of political leadership and the Roman constitution in Aristotelian terms; Cynic repudiation of the polis - but accommodation with its rulers; Stoic and Epicurean theories of justice as the foundation of society; Cicero's moral critique of (...) the traditional political pursuit of glory. The volume as a whole offers a comprehensive guide to the main currents of social and political philosophy in a period of increasing interest to classicists, philosophers and cultural and intellectual historians. (shrink)

Jean Bollack est mort le 4 décembre 2012, à l’âge de 89 ans. C’était un philologue, et un personnage, hors norme, comme il les aimait, et comme ceux qui l’ont connu l’ont aimé. Une façon, paradoxale sans doute, de fixer sa norme à lui, est de dire de l’écriture ce que Léonard disait de la peinture : è cosa mentale. Ce qui signifie que les textes ne sont pas ce pour quoi on les considère souvent, documents ou expressions. Lus par (...) Jean Bollack, ils étaient toujours la trace de la distance prise... (shrink)

Bien que Nietzsche n'ait cessé de se réclamer de la phlologie, il cessa un jour de pratiquer ce qu'on appelle cemmunément ainsi. Quel fut, pour Nietzsche, le statut de cette philologie-là? le présent article cherche à répondre à cette question, en étudiant un text qui n'a guèrre été commenté, les Diadokhai des Philosophes préplatoniciens, rédigé en 1873/4. A la différence de autres études laetiennes de Nietzsche, où la Quellenforschung semble ètre pratiquée pour elle-même, la «recherche des sources», dans les Diadokhai, (...) est directement, quoique implicitement, mise au service de la réévaluation des philosphes préplaniciens, à laquelle Nietzsche travaille par ailleurs dans les Leçons sur les préplatoniciens qu'il professe à Bàle entre les années 1969/70 et 1876. Ainsi se manifeste pour un temps, chez Nietzsche même, la solidarité entre l' «histoire des sommets» et la travail du tácheron, fugitivement thématisé dans la Seconde inactuelle.Obwohl Nietzsche niemals aufhörte, sich auf die Philologie zu verufen, hat er doch eines Tages aufgehört zu praktizieren, was man gewöhnlich so nennt. Was war für Nietzsche der Status dieser Philologie? der Aufsatz will eine Antwort auf diese Frage geben, indem er einen Text untersucht, der bisher kaum kommentiert wurde, die Διαδοχαί der vorplatonischen Philosophen von 1873/74. Im Unterschied zu zanderen Studien Nietzsches zu Laertius, in denen er Quellenforschung um ihrer selbst willen zu prakizien scheint, setzt er sie hier direkt, wenn auch implizit, zur Umwertung der vorplatonischen Philosphen ein, an der Nietzsche außerdem in seinen Vorlesungen über die vorplatonischen Philosophen arbeitet, die er in Basel von 1869/70 bis 1876 hält. So zeigt sich auf Zeit bei Nietzsche selbst die Nähe der 'Gipfel-Geschichte' und der mühsamen Arbeit, wie in der Zweiten Unzeitgemässen Betrashtung flüchtig thematisiert wird. (shrink)

Le terme de « rationalisation », qui renvoie à un processus menant de l’« irrationnel » au « rationnel », prend deux valeurs opposées, selon que le processus en question est considéré comme objectif ou subjectif, légitime ou non. Le développement d’une nouvelle forme de rationalité en Grèce ancienne (la philosophie) et son historiographie postérieure présentent souvent des tensions intéressantes entre les deux options. Avons-nous affaire au « phénomèn » originel, dont la raison, malgré qu’elle en ait, doit s’accommoder, ou (...) déjà à des utilisations et transpositions, qui font « référence » à des prétentions ou des types de pensée traditionnels ? L’article étudie sous ce rapport deux cas célèbres : la description fantastique que donne Parménide de son voyage chez la Déesse dans le proème de son poème et l’autoportrait d’Empédocle en « magicien » dans un de ses fragments, pour suggérer, contre certaines tendances récentes de l’interprétation, qu’ils répondent tous deux à la seconde hypothèse. (shrink)

In the _Poetics_, Aristotle, defines metaphor as the transfer of a term from a given, foreign domain to another one. If, as does the classical doctrine of tropes, we consider that it substitutes the ‘proper’ term, the metaphor has a purely ornamental value and we can do without it. Modern theories insist, on the contrary, on the cognitive value of the metaphor: because it offers a re-description of the world, the metaphor is “alive”. The question is to what extent this (...) cognitive conception of metaphor, in spite of its classical reception, is already at work in Aristotle’s differentiated analysis of the phenomenon, as Ricœur claims. The answer is ‘yes but rather no’. This is because the cognition Aristotle talks about in relation to metaphor is of a special type, a “quasi-cognition”. (shrink)

Metrical summary of the different system of Indian philosophy.

Encyclopedic dictionary of Viśiṣṭādvaita school of Vedanta in Hindu philosophy.