This book contributes to current bioethical debates by providing a critical analysis of the philosophy of human death. Bernard N. Schumacher discusses contemporary philosophical perspectives on death, creating a dialogue between phenomenology, existentialism, and analytic philosophy. He also examines the ancient philosophies that have shaped our current ideas about death. His analysis focuses on three fundamental problems: (1) the definition of human death, (2) the knowledge of mortality and of human death as such, and (3) the question of (...) whether death is nothing to us or, on the contrary, whether it can be regarded as an absolute or relative evil. Drawing on scholarship published in four languages and from three distinct currents of thought, this volume represents a comprehensive and systematic study of the philosophy of death, one that provides a provocative basis for discussions of the bioethics of human mortality. (shrink)

Paris, 1943. In a flash, a book is published that will shape post-war Europe like none other. Jean-Paul Sartre’s Being and Nothingness discloses utterly new insights about human freedom, about feelings such as shame and desire, and about death. The new edition of the renowned book of commentary on the magnum opus of French existentialism opens access to the work through the latest state of research.

A leading Catholic philosopher, he won a wide audience through such books as The Four Cardinal Virtues and About Love.This book is one of few extended studies ...

Deux questions sont abordées : l'individu peut-il conceptualiser sa mort? Celle-ci est-elle un mal? Trois problèmes sont soulevés : la nature de la mort, sa connaissance par l'individu et sa perception, ou non, comme un mal. L'auteur analyse les textes classiques anciens et contemporains traitant de l'approche de la mort, et se livre à une intégration critique des philosophes thanatologues.

Der Autor setzt sicht kritisch mit der Definition des so genannten personalen Todes auseinander und behauptet, dass die Negation der biologischen Dimension des Todes – entsprechend einer von Locke begründeten dualistischen Anthropologie, der sich zahlreiche zeitgenössische Bioethiker verschrieben haben – eine Banalisierung des menschlichen Todes darstellt. Der Autor nimmt einen biologistischen Standpunkt ein, wonach die Zerstörung des Körpers in dieser Welt gleichbedeutend ist mit dem Tod der Person. Er diskutiert in einem zweiten Schritt die Radikalisierung dieser biologischen Todesdefinition, die den (...) menschlichen Tod entpersonalisiert, indem sie ihn auf eine bloße natürliche Dysfunktion des menschlichen Organismus reduziert und sich weigert, in ihm ein Drama beziehungsweise ein Übel an sich zu sehen. (shrink)

Paris, 1943. In a flash, a book is published that will shape post-war Europe like none other. Jean-Paul Sartre s Being and Nothingness discloses utterly new insights about human freedom, about feelings such as shame and desire, and about death. The new edition of the renowned book of commentary on the magnum opus of French existentialism opens access to the work through the latest state of research.".

L’auteur examine la définition de la personne chez John Locke à laquelle se réfère un nombre croissant de philosophes en bioéthique. L’auteur se concentre sur une lecture précise et critique du célèbre passage lockéen qui opère un transfert de la définition de la personne d’un plan substantiel à celui juridique et moral . Il développe les contradictions logiques internes à la définition de la personne comme conscience de soi et conscience morale chez le philosophe anglais, notamment le besoin de réinsérer (...) la corporéité dans sa définition afin de transcender le subjectivisme, comme du critère de souvenir authentique qui le différencie du pseudo-souvenir, du statut de l’être humain qui serait ivre ou qui n’exercerait plus de manière irréversible la conscience de soi en lien avec la théorie des intérêts. L’auteur conclut par une réflexion critique sur les conséquences éthiques contemporaines de la définition lockéenne de la personne performante. (shrink)

L’auteur traite de la question fondamentale qui est une personne et, plus spécifiquement, si tous les êtres humains sont des personnes ou s’il existe des êtres humains qui ne seraient pas des personnes et qui n’auraient donc pas les mêmes droits à la vie que celles-ci. Certains philosophes, tels que Peter Singer, Michael Tooley et Tristram Engelhardt, se sont proposés de résoudre bon nombre des délicats problèmes bioéthiques contemporains en distinguant, d’une part, la vie humaine biologique, propre à l’être humain (...) et, d’autre part, la vie humaine personnelle, qui est celle de la personne à laquelle est octroyé un droit à la vie. L’auteur soutient que tout être humain est fondamentalement une personne. The author discusses the fundamental question who is a person and more specifically if every human being is a person or if there exists some human beings who are not persons and who do not have the same rights to life as the human being. In an attempt to resolve a good number of delicate bioethical problems some philosophers, such as Peter Singer, Michael Tooley et Tristram Engelhardt, propose to distinguish between human biological life, belonging to all human beings, and human personal life, which belongs to a person to whom is accorded the right to life. The author maintains that every human being is fundamentally a person. (shrink)

RÉSUMÉ: Dans un article sur le Banquet de Platon, ayant pour titre «L’amour sorcier», Luce Irigaray tente de retrouver les enseignements de Diotime de Mantinée sur Éros. Trouvant un contraste fort entre les deux parties du discours de Diotime, elle spécule sur le fait que la doctrine d’Éros contenue dans la première partie du discours pourrait représenter les enseignements de la Diotime historique auxquels viendrait se superposer la «métaphysique» platonicienne dans la deuxième partie du discours. Tout en trouvant beaucoup à (...) admirer dans le travail d’Irigaray, l’auteur suggère que les deux parties du discours peuvent être lues comme une unité, et que les idées développées par Irigaray peuvent être comprises au sein du platonisme. (shrink)