Abstract
La mondialisation économique, le cosmopolitisme et le multiculturalisme qui caractérisent de plus en plus les sociétés modernes remettent en cause les allégeances nationales traditionnelles. Reste à savoir si c'est un bien ou non, s'il faut accélérer le pas ou non. Les arguments en faveur d'une ouverture décidée sont forts et nombreux, mais, para-doxalement, il apparaît qu'elle n'est pas sans danger pour l'autonomie des personnes. Entre le particularisme et l'universalisme, une troisième voie est souhaitable