Abstract
On se souvient peut-être de la parution au début de l’année 2008 du livre de Sylvain Gougenheim, Aristote au Mont Saint-Michel – Les racines grecques de l’Europe chrétienne (Le Seuil, Paris, 2008), des recensions laudatives dont cet ouvrage fit l’objet dans de grands quotidiens (le Monde, le Figaro), et de la polémique qui s’ensuivit. Cette polémique et l’ouvrage qui l’a suscitée semblent aujourd’hui déjà oubliés, les projecteurs de l’actualité, comme on dit, s’étant braqués sur d’autres obje..