Στό άρθρο αὐτό παρουσιάζονται δέκα πέντε ἑλληνικά ἀγγεῖα της συλλογῆς Πιερίδη (βλ. BCH 1971) : ἕνας μικύλλος κορινθιακός σκύφος τοῦ 6ου αἰώνα, τρία μεγάλα μελανόμορφα ἀττικά ἀγγεία τοῦ τέλους τοῦ 6ου ἤ τῶν ἀρχῶν τοῦ 5ου αἰώνα (ἕνας ἀμφορέας μέ φαρδειά κοιλιά καί παράσταση θεοτήτων, μεταξύ τῶν ὁποιων ὁ Διόνυσος μέ τό θίασο του · ἕνας ἀμφορέας μέ λαιμό πού φέρει στή μία πλευρά διονυσιακή σκηνή, καί στην άλλη δύο οπλίτες καί έναν τοξότη Σκύθη * μία πελίκη μέ τό Θησέα (...) καί τό Μινώταυρο καί στις δύο πλευρές), δέκα μικρά αττικά αγγεία του 5ου καί 4ου αιώνα, άλλα ἐρυθρόμορφα (ἕνας σκύφος μέ γλαῦκές, δύο ἀσκοί διακοσμημένοι μέ ζῶα, μία πυξίδα τύπου D μέ κάλυμμα κοσμημένο μέ καθιστό νέο ἄνδρα, καί μία ἀρυβαλλοειδή λύκηθο μέ ἀνθέμιο), ἄλλα μέ μαῦρο γάνωμα (μία ἄωτη κύλικα, μία χαμηλή κύλικα μέ μία μόνο λαβή, ἔνα κύπελλο μέ ἔντυπη διακόσμηση καί δύο κυαθίσκους), τέλος ἕναν ἐλληνιστικό ἀμφορέα μέ διακόσμηση τύπου « west slope ». Τίθεται καί πάλι τό πρόβλημα τῶν εἰσαγωγών ἀττικής κεραμεικής στήν Κύπρο, ἰδιαίτερα τόν 5° αἰώνα. (shrink)

Les travaux et publications récents concernant le très abondant matériel de l’Artémision de Thasos permettent de proposer une première vue d’ensemble. Nous sommes ici dans une situation privilégiée puisque nous savons par les sources écrites qu’il s’agit d’un sanctuaire consacré à Artémis. Le matériel votif du sanctuaire permet-il alors de dégager un aspect particulier de la personnalité d’Artémis à Thasos ? Si quelques offrandes sont clairement le signe d’une dévotion de jeunes filles et de femmes ou sont directement à mettre (...) en relation avec les attributions d’Artémis, force est de constater, à ce point d’avancée des recherches, l’absence d’offrandes vraiment originales, et en particulier le nombre très réduit de représentations de la déesse dans son sanctuaire, ce qui ne permet guère de déterminer une fonction précise de celle-ci à Thasos. Recent research and publications on the very numerous votive offerings found in the Thasian Artemision allow us to provide a preliminary overview. The context is favourable, since written evidence informs us that this sanctuary was dedicated to Artemis. Do the offerings found in the sanctuary allow us to point out a particular aspect of the Artemis’ personality in Thasos? Some offerings clearly indicate that girls and women worshipped the goddess, or else they can be directly related to Artemis’ prerogatives. However, we can infer from current investigation that no truly original offerings are attested and that the goddess herself is very rarely represented on offerings in her shrine. Thus this evidence does not allow us to define a precise function of Artemis in Thasos. (shrink)

The perfect books for the true book lover, Penguin’s Great Ideas series features twelve more groundbreaking works by some of history’s most prodigious thinkers. Each volume is beautifully packaged with a unique type-driven design that highlights the bookmaker’s art. Offering great literature in great packages at great prices, this series is ideal for those readers who want to explore and savor the Great Ideas that have shaped our world.

Contents include a note on the translation, introduction by Peter Gay, and a bibliography.

Discourse on the sciences and the arts -- Discourse on the origin and foundations of inequality among men -- Discourse on political economy -- On the social contract -- The state of war.

Jean Jack (1915) The Political Writings of Jean Jacques Rousseau, Translated: Charles Edwyn Vaughan, M.A., Litt.D., Cambrige at the Unıversıty Press, , in two volumce, volume one,.

The dawn of music semiology showcases the work of ten leading musicologists inspired by the work of Jean-Jacques Nattiez. Reflecting the energy and diversity of the young field of music semiology, chapters in this volume discuss music and gesture, the psychology of music, and the role of ethnotheory, and offer new research on topics as diverse as modeling folk polyphony, spatialization in the Darmstadt repertoire, Schenker's theory of musical content, and modernism from Wagner to Boulez.

Le faux s'entend de multiples façons et ne désigne pas seulement le résultat d'une opération de falsification menée à des fins privées et, à ce titre, réprimée plus ou moins efficacement par le droit pénal. Il fait aussi partie des contraintes nécessaires au bon fonctionnement du système juridique: on ne peut se passer des fictions ou des présomptions ; il faut compter aussi avec les approximations nécessaires du langage juridique: jamais il n'est question de "décrire" une réalité, mais bien plutôt (...) de la schématiser ou d'énoncer un devoir-être la concernant. Ce qui a pour effet de placer le législateur et ses alliés objectifs dans une situation de tension permanente entre ce qui existe en fait ou risque d'advenir et les exigences énoncées par la règle juridique. Ce décalage nécessaire affecte tous les secteurs du droit, pas seulement les plus sensibles au changement social. On a donc essayé d'en prendre la mesure, dans certains d'entre eux - droit économique, droit des assurances, droit de l'environnement, protection des oeuvres de l'esprit, droit international et européen, droit des nouvelles technologies -, sans oublier que le droit n'est à tout prendre qu'un laboratoire des oppositions et conflits d'intérêts qui travaillent la société dans son ensemble et que, par conséquent, comme tout système de communication, il se doit pour continuer d'exister et de remplir cette fonction implicite, de maintenir une part d'ombre sur sa propre nature. Comme dans tous les colloques organisés par le Centre d'études et de recherches sur les contentieux, cette question juridique par excellence a été étudiée par des juristes, bien sûr, mais aussi par des collègues apparemment étrangers à la chose juridique mais directement concernés par les problèmes de la communication entre les hommes. Le colloque dont les actes sont ici reproduits s'inscrit dans la continuité d'un travail entrepris il y a quelques années dans le cadre du Centre d'études et de recherches sur les contentieux. Il a déjà donné lieu à une première publication consacrée aux problèmes de l'interprétation et de la traduction. (shrink)

Le prologue du livre de Ben Sira est le seul texte biblique qui nous livre une réflexion sur l’acte de traduire. Cet article vise deux objectifs : 1) mieux comprendre ce que le petit-fils de Ben Sira dit au sujet de la traduction du livre de son grand-père ; 2) comparer sa conception de la traduction avec celles que l’on trouve dans d’autres textes judéens et alexandrins relatifs à la traduction de la Bible hébraïque en grec, afin de mettre en (...) évidence le caractère singulier des propos du petit-fils de Ben Sira. (shrink)

Délire is the disorderly side of language, a no man’s land between reason and gibberish. In this study, originally published in 1985, the author provides a history of _délire_, tracing its influence on philosophy, linguistics, literature and psychoanalysis. The author argues that _délire _provides a new approach to the classic philosophical problem of sense and nonsense.

Si en su “Discurso sobre las ciencias y las artes” (1750) y en su “Discurso sobre el origen de la desigualdad” (1755) –publicados en un solo volumen en esta colección– Jean-Jacques Rousseau (1712-1778) fue sentando las bases de su pensamiento filosófico y social, el trabajo fundamental que acabó alumbrando el autor en el campo del pensamiento político fue “Del Contrato social”, publicado en 1762. Esta obra, en la que toman cuerpo las inquietudes políticas y la fe en la (...) razón de la corriente ilustrada, puede considerarse la fundadora del derecho político. Su análisis teórico de la soberanía de los Estados como producto de la voluntad general se fundamenta en un contrato por el que el individuo enajena su libertad natural a cambio de convertirse en ciudadano, recibir los derechos inalienables de igualdad jurídica e igualdad moral, y asegurar la libertad de todos los miembros de la sociedad. “Del Contrato social” es uno de los textos capitales para entender el nacimiento de las sociedades modernas. Traducción y prólogo de Mauro Armiño. (shrink)

Discorso sulle scienze e le arti.--Discorso sull'origine e i fondamenti dell'ineguaglianza tra gli uomini di un cittadino di Ginevra.--Sull'economia politica.--Lettera a d'Alembert sugli spettacoli.--Del contratto sociale o principî del diritto politico.--Progetto di costituzione per la Corsica.--Considerazioni sul governo di Polonia e sul progetto di riformarlo.

Esta obra, conocida también como Segundo discurso, se publicó en Francia en 1755 y responde a una pregunta planteada por la Academia de Dijon: “¿Cuál es el origen de la desigualdad entre los hombres, está respaldada por la ley natural?”. Rousseau se opone principalmente a la tesis de Hobbes, que consideraba al hombre malo por naturaleza, y critica que este no retrocede lo suficiente en el tiempo para comprender al hombre natural. Así, el autor francés busca un conocimiento más profundo (...) y llega a la conclusión de que el hombre natural es “un buen salvaje que vive disperso entre los animales” y que no está condicionado por el miedo a la muerte porque no puede concebir ese final. Rousseau analiza dos tipos de desigualdad: la natural o física y la ética o política y argumenta que la segunda se establece por convención en sociedades civiles que son una trampa perpetuada por los poderosos sobre los débiles para mantener sus privilegios. (shrink)

"Vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous et que la terre n'est à personne." Le Discours est une critique virulente et toujours actuelle d'une société où l'homme est dépossédé dès sa naissance de sa qualité d'homme. Il faut relire J.-J. Rousseau. Ses attaques contre le travail, la propriété et, en général, la vie sociale telle que nous la trouvons constituée dans un monde où nous sommes jetés sans l'avoir voulu ont, pour nos oreilles, des échos (...) à la fois très modernes et inattendus. La Reine fantasque est un conte "gai et fou". (shrink)

Why do philosophers read literature? How do they read it? And to what extent does their philosophy derive from their reading of literature? Anyone who has read contemporary European philosophers has had to ask such questions. This book is an attempt to answer them, by considering the ‘strong readings’ Alain Badiou and Gilles Deleuze impose on the texts they read. The author demonstrates that philosophers need literature as much as literary critics need philosophy: it is an exercise not in the (...) philosophy of literature, but in philosophy and literature, a heady and unusual mix. (shrink)