One supposition underlying the Anderson & Lebiere target article is that the maximally broad “encompassing of its subject matter – the behavior of man” is regarded as an unquestioned quality criterion for guiding cognitive research. One might argue for an explicit specification of the limitations of a given paradigm, rather than extending it to apply to as many domains as possible.

„An die Stelle des Klischees, Kierkegaard sei Kind seiner Zeit, könnte man deshalb mit Recht die weniger klischeehafte Aussage setzen, dass Kierkegaard durch seine Werke geboren worden ist, geschrieben durch seine Schriften. Aus demselben Grund lassen sich im Fall Kierkegaards Biographie und Bildung nicht trennen. Dass man sie auch nicht aufeinander reduzieren kann, dürfte entsprechend klar sein. Tut man das nämlich, raubt man dem göttlichen Erzähler die Möglichkeit, in dem Leben des Einzelnen zu Wort zu kommen – sowohl im Leben (...) Kierkegaards als auch im Leben eines jeden anderen Menschen.“ Joakim Garff Das Buch beginnt mit dem Themenkomplex Bildung, Biographie und Europa (Joakim Garff und Hartmut Rosenau). Kierkegaards Auseinandersetzungen mit dem Christentum (Jon Stewart fingiert einen möglichen Dialog darüber mit Hegel) und dessen institutionalisierten Formen, von Kierkegaard heftig kritisiert, z.B. in „Einübung im Christentum“ (dargestellt von Markus Pohlmeyer), mündeten in einen Kirchenkampf, der es Theologen und Theologinnen aller Konfessionen schwer macht€, Kierkegaard doch noch als einen der ihren zu akzeptieren, wie Eberhard Harbsmeier darlegt. Das Problem, Kierkegaard zu übersetzen, untersuchen Eberhard Schreiber, Tim Hagemann und Caren Wicka vor allem am Beispiel von Schrempfs geliebt-gehassten Übersetzungen. Klaus Müller und Marcello Neri zeigen, welch wichtige Impulse Kierkegaard dem italienischen Hermeneutiker Luigi Pareyson und dem deutschen Theologen Eugen Drewermann gab. (shrink)

LIST OF ILLUSTRATIONS Soeren Kierkegaard ... ... ... frontispiece (By permission of the Danish Royal Library) Martin Heidegger ... ... ... facing page 80 ...

Las presentes páginas se proponen abordar el concepto kierkegaardiano del instante (Oeieblikket) a la luz de algunas nociones históricas, ganadas por Soeren Kierkegaard a favor del existente singular. En efecto, tanto el pensamiento antiguo, como el cristiano y el moderno habrían contribuido a la idea de un instante personal, que niega y conserva en la eternidad la totalidad de la historia.

De l'utilité et de l'inutilité d'une introduction à la philosophie -- Comment s'initier au philosopher? -- L'introduction à la philosophie comme problème philosophique -- Quelques "Protreptiques" contemporains -- Le philosophique et l'extra-philosophique : la conversion philosophique et ses effets -- La philosophie comme "monde à l'envers" -- Les malheurs du regard théorique -- Le philosophique et l'extra-philosophique. Pour une articulation herméneutique -- L'homéopathie de socrate et la pharmacie de platon -- Socrate "homéopathe" -- La "pharmacie" de Platon -- Le statut (...) aristotélicien de la sagesse pratique et la thérapeutique des désirs -- Sagesse pratique et médecine -- Des désirs bien tempérés : la thérapeutique aristotélicienne des passions -- Y a-t-il des maladies proprement philosophiques ? : l'épine de la mélancolie dans la chair du philosophe -- La chirurgie d'épicure : se débarrasser des opinions vides et des désirs vains -- Présupposés épistémologiques : la vérité des sens et les pièges de l'opinion -- Le tetrapharmakon : du vide à la plénitude -- La pratique thérapeutique -- La santé de l'âme : de la kénodoxie à l'ataraxie -- Tonifier la raison : la thérapeutique stoïcienne -- Une triple discipline de la pensée : logique, physique et éthique -- Un diagnostic : les passions comme maladies de l'âme -- La pratique thérapeutique : une raison tonifiante -- Le bonheur du sage : bonheur et maîtrise de soi -- "Travailler à la santé du monde" (Marc Aurèle) -- "Frapper les choses en plein corps" : la physique comme exercice spirituel -- Santé du monde et santé de l'individu -- La purge sceptique : vivre sans opinions arrêtées -- Pyrrhon le Bienheureux ou : comment devient-on sceptique ? -- Sextus Empiricus : soigner par le logos sceptique -- Le diagnostic : les maladies de la présomption et de la prévention -- Une pratique thérapeutique musclée : la purge -- Le bonheur sceptique : l'insoutenable légèreté du paraître -- Les consolations de la philosophie (Boèce) -- Des revenants et un peu plus : rupture ou continuité ? -- Châteaux dormants ou champs de ruines : déclin ou persistance de l'ancienne conception de la philosophie -- De l'analogie à l'allégorie : la Philosophie dans le rôle du Médecin (Boèce) -- La "maladie à la mort" et sa guérison (soeren kierkegaard) -- Kierkegaard "l'Extraordinaire" -- "Socrate mon maître" : comment devenir un "Socrate chrétien" ? -- Une topographie des sphères de l'existence : les stades de la vie -- Des maladies de l'âme à la maladie de l'esprit : le désespoir comme maladie à la mort -- Le malaise dans la culture et le médecin-philosophe (Friedrich Nietzsche) -- "Ecce homo" ou comment Friedrich est devenu Nietzsche -- "Un démon tout nouveau appelé Socrate" : Socrate et le "socratisme" -- Un diagnostic : le malaise dans la culture et le nihilisme -- À la recherche de la "grande santé" : le "gai savoir" -- Un personnage conceptuel : Zarathoustra -- Le gai savoir et son ombre -- "Traiter les problèmes philosophiques comme on traite une maladie" (Ludwig Wittgenstein) -- Les étrangetés d'une vie et la singularité d'une pensée -- Un poste d'observation exposé : le sens de la vie et les problèmes philosophiques -- Les jeux de langage et leurs enjeux -- Les problèmes philosophiques et leur traitement -- De l'entendement malsain à l'entendement sain (Franz Rosenzweig) -- D'"alibi" à "ibi" : une vie sous le signe de l'Étoile -- La "pensée nouvelle" : "une philosophie en quête d'expérience" -- Le sens commun et les maladies de l'entendement. (shrink)

La séduction est une constante de la relation humaine. Elle est à la fois prise de pouvoir sur l’autre et bénéfice narcissique pour le séducteur, qu’elle conforte dans l’estime qu’il a de lui-même. La séduction appartient aux deux sexes, mais, lorsqu’on cherche dans la littérature des exemples de séduction, on trouve curieusement plus de séducteurs que de séductrices. À partir d’exemples littéraires, l’auteur tente de définir les voies et les moyens de la séduction. Transgression et perversion avec Don Juan, plaisir (...) et instinct avec Casanova, stratégie et ruse avec Valmont. Sans oublier les plans élaborés de la carte du tendre, héritière au XVII e siècle de l’amour courtois du Moyen Âge, et la méthode très sophistiquée de séduction exposée par le philosophe danois Soeren Kierkegaard dans Le journal d’un séducteur. La séduction est de tous les temps et de toutes les époques. Organiquement liée à la sexualité, elle est « l’art des préliminaires ». (shrink)