NOTE SUR DEUX INSCRIPTIONS BYZANTINES
Les copies nouvelles des inscriptions byzantines jadis publiées au t. IV du GIG démontrent presque toujours le caractère fantaisiste des suppléments de Franz. Malheureusement, beaucoup de ces textes ont disparu. Parmi ceux qu'il faut désespérer de revoir, se trouve une inscription de Philadelphie (GIG, 8758), qui mérite peut-être quelques efforts de restitution et d'interprétation. L'intérêt qu'inspire la ville héroïque, qui résista si longtemps aux entreprises de l'Islam, doit faire bénéficier d'un traitement de faveur ses rares monuments épigraphiques. Celui-ci, mieux compris, garde un pâle reflet de sa glorieuse histoire.
ΛΟΥΤΗΡΑΦΑΙΔΟΝΪ\ΜθΛΥΝυϋΔ€θπθΤΗ
eoTHceeeoAHHTOceKTtoN κρηπνδιον
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Voici la transcription du Corpus:
Λουτήρα φαιδ[ρ]όν άμολΰντω δεσπότη [έ'σ]τησε θεόλη[π]τος εκ των κρηπ[ή]δων π[η]δαλιοΰχος ή [δ'] άδελφεών σ[τ]ίφος
Παλαιολ[όγ
5 προ Άνδρον[ίκ]ου τ[οΰ] Μιχα|ή]λ [δ]ε[σπ]ό[του]