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Une gigantomachie sur un canthare de l'Acropole d'Athènes

[article]

Année 1896 20 pp. 364-373
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UNE GIGANTOMAGHIE SUR UN CANTHARE DE L'ACROPOLE D'ATHÈNES

(PI. VI -VII).

J'apporte ici une très modeste contribution à l'étude d'une des découvertes les plus merveilleuses des fouilles françaises à Delphes, la frise du Trésor des Siphniens. Veuille l'École française l'accepter comme un ξένιον pour l'amicale hospitalité qu'elle m'a souvent offerte dans sa belle maison d'Athènes, et comme un souvenir de ma visite aux fouilles de Delphes, dans l'été de 1894.

Les fragments d'un canthare à figures noires, publiés ici (planches VI et Vil) avec l'autorisation bienveillante de M. Paul Wolters, proviennent des fouilles exécutées sur l'Acropole d'Athènes en 1880. Il faut remarquer que le fond du vase, qui dans la reproduction paraît blanc, a dû avoir en fait la couleur habituelle de l'argile; du reste, comme un certain nombre d'autres fragments de l'Acropole, l'incendie allumé par les Perses l'a rendu gris et presque noir. Reproduire un tel morceau est une tâche particulièrement difficile; je crois cependant qu'on ne pourra pas refuser au dessin de M. Gil- liéron le mérite d'une exécution magistrale.

11 n'y a guère d'espoir pour le moment de compléter davantage le vase à l'aide de nouveaux fragments. Parmi les tessons de l'Acropole, dont je me suis occupé pendant plusieurs années, il n'en existe aucun, à coup sûr; toutefois, dans les remblais de la pente Nord de l'Acropole, si jamais on les enlève, peut-être découvrira-t-on des morceaux de notre canthare comme de beaucoup d'autres vases de l'Acropole.

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