Couverture fascicule

Jacynthe Tremblay, Nishida Kitarô. Le jeu de l'individuel et de l'universel

[compte-rendu]

Année 2002 100-4 pp. 839-841
doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 839

Jacynthe Tremblay, Nishida Kitarô. Le jeu de l'individuel et de l'universel (CNRS Philosophie). Un vol. 24 x 15,5 de 336 pp. Paris, CNRS Éditions, 2000.

La majorité de la littérature occidentale consacrée, depuis quelques décennies déjà, à ce que l'on nomme communément «école de Kyoto» se divise en trois catégories: études introductives (y compris les anthologies); examens plus spécifiques de l'embarrassante question politique, nœud d'un débat déjà ancien; et, dans une perspective considérablement plus féconde du point de vue philosophique, il y a cette approche que

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw