Plan

Chargement...
Couverture fascicule

Les sources de l'idéalisme

[article]

Chapitre II. Le phénoménisme moderne

Année 1935 46 pp. 161-173
doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 161

Les sources de l'idéalisme

Chapitre II. Le phénoménisme moderne

Art. I. Locke et Hume

1. La substance-substrat

Laissons provisoirement Descartes, sur lequel nous reviendrons dans notre troisième leçon, pour étudier, à son propos, les formes systématiques de l'idéalisme moderne. Par delà Descartes, contre lequel elles sont d'ailleurs en réaction, abordons immédiatement les doctrines empiristes du XVIIIe siècle. On les verra conclure au phénoménisme en vertu des mêmes méthodes et des mêmes principes que nous avons rencontrés chez les empiristes médiévaux *.

Il y a, chez Locke, toute une critique de la connaissance qui pourrait facilement donner le change et laisser supposer que le phénoménisme vers lequel il s'achemine par sa discussion est d'abord le fruit d'une notion de l'esprit et de son activité. Or il nous semble que, comme pour ses prédécesseurs du XIVe siècle, c'est plutôt au niveau de l'ontologie que se situe son point de départ. Locke, en effet, n'a pas compris le sens de l'innéisme

* Conférences faites à l'Institut supérieur de Philosophie. Cf. la Revue néo- scolastique de février 1935, pp. 24-42.

1 Nous ne distinguons pas ici entre idéalisme et phénoménisme. Une distinction pourrait sans doute être établie. Mais, en fait, le phénoménisme (ou doctrine selon laquelle il n'existe que des phénomènes) est une forme de l'idéalisme. Au surplus, le terme de phénoménisme est récent (il paraît avoir été introduit par Renouvier dans le vocabulaire philosophique), et « Eisler classe sous le titre d'/m- manenz Philosophie des doctrines que nous appellerions phénoménistes» (Vocab. techn. et crit. de la Philo., art. Phénoménisme, t. II, 581).

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw