'I; Si initie tëeole a pu prendre enlin une part active; ;mx recherches pa- pyrographiques, c'est à plusieurs de nos mailles qu'elle It; doit, et les lecteurs du Hl'll me permettront de les nommer ici. Nus reinercîinenls doivent d'abord aller à .M. I.iard. direcle.ur de l'Enseignement Supérieur ; non seulement il a décidé l'entreprise, mais encore il l'a rendue possible par les crédits qu'ils nous a accordes. M Maspéro ne s'est pas contents de. donner à nos éludes l'appui de son autorité, il a bien voulu nous faire profiler de ses conseils. Depuis longtemps déjà M. Ilomolle avait des desseins sur l'ivgyple: i'inle- rèl de> [»;ipyrus grecs n'avait pas échappe à M. (1. de Morgan, alors directeur du service de» Antiquités : d'accord avec lui, dès 1894 — avant les μι ;i mis travaux de (îienfell et de, Hunt, — M. Ilomolle envoyait au Caire un iiieinbie de l'Kcole d'Athènes. L'École lie pouvait, à ee moment entreprendre des fniiilles de ce cole, mais une étude du musée de Gi/.eli un voyage dans la vallée du Nil amenèrent la découverte de documents qui ne sont pas encore losis publié-.. Depuis ce le ups, M. Ilomolle n'a pis cessé de faire tout le possible pour rendre nus ellmls plus actifs. Nuire campagne de 1 111)1 et celle de. Illili étaient donc préparées par lui de longue date, il va eonli iluié par un crédit iinpoilanl ; en Km;! il a fait plus meure en nous duiinant un ami et un collaborateur m la personne de. notre jeune camarade Gustave Lefehvre. Kn Ii-'yple même, les appuis ne nous ont pas manqué.. Je remercie l'Inslilut français d'archéologie uiienlale, auquel j'ai eu riionueiir d'èhe autrefois attaché, et som direclcur, mon ami Kmile . (Miassiual de I'hospitalile' qui m'a été cordialemeiil. nllerle Knlin je veux aussi cl loul pai liculièrenient re- iuerci(."r MM. GieiilVII et Hunt. Non seulement par leurs belles déeuuverles, jls ont, pour ainsi diie donné l'élan, mais encore, ils ont établi et ils nous