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Relativity in biology

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Zusammenfassung

Das allgemeine Prinzip der „Relativität der Begriffe” — vom Verfasser a. a. O. dargelegt — behauptet, dass ein und dieselbe Situation der Wirklichkeit auf verschiedene Weisen beschrieben werden kann, die sprachlich und begrifflich zwar verschieden sein mögen, doch grundsätzlich die gleichen bleiben. Die verbalen oder begrifflichen Unterschiede führen uns zu der falschen Annahme, dass den Elementen, welchen im Denken oder im sprachlichen Ausdruck weniger Bedeutung zugemessen wird, auch weniger Bedeuten in Wirklichkeit zukommen, oder dass sie weniger real sind.

Die bedeutendste Anwendung dieser Lehre auf die Biologie betrifft die Interpretation des „Individuellen”. Soll man das Individuum als eine Einheit verstehen, oder kommt der Begriff der Einheit einerseits den Teilen zu, wie z. B. Zellen, Molekülen und Atomen, oder andererseits höheren und synthetischen Einheiten wie z.B. Klassen, Arten, dem „élan vital”, u.s.w. ? Alle diese drei Ansichten haben etwas für sich, doch stehen auch jeder entscheidende Gegengründe gegenüber, so dass die einzig-mögliche Schlussfolgerung die Annahme der Begriffsrelativität ist. Jeder der drei Standpunkte ist nur in so weit wahr, als er etwas Positives beibringt, falsch jedoch solange er nur die beiden andern leugnet.

Résumé

Le principe de la relativité des concepts, ayant une application générale dans toutes: parties de la philosophie et de la science, est développé ailleurs par l'auteur. Ce principe propose qu'une situation quelconque peut être discutée dans plusieurs manières, se différant entre elles dans le choix des mots ou des concepts, tout en étant au fond indentiques. Les differences linguistiques ou conceptuelles nous mènent à l'assomption fausse que les éléments moins importants dans la pensée ou dans le langage sont moins importants dans la nature, ou même que ces éléments sont moins réels.

En biologie, ce principe a une importance notable en ce qui concerne l'interprétation de l'individu. Doit-on entendre par l'individu les cellules, les molécules, les atomes, et les autres éléments qui le composent; ou bien l'individu même; ou encore doit-on oublier et l'individu et les éléments qui le composent, et baser sa philosophie sur les entités synthétiques telles que les espèces, les genres, et l'élan vital ? Chacune de ces trois opinions a des considérations en sa faveur; mais chacune d'elles se bute à des objections plus considérables encore qui l'empêchent d'être acceptée. La seule conclusion qui semble être possible est l'adoption du principe de la relativité des concepts, et l'assomption que chaque manière d'envisager l'individu est valide tant qu'elle a quelque chose de positif à dire; chaque manière est fausse quand elle nie Ja validité des autres points de vue.

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Bibliography

  • Lafleur, L. J. (1940). Conceptual relativity. - J. Philosophy XXXVII, p. 421–431.

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Lafleur, L.J. Relativity in biology. Acta Biotheor 5, 169–176 (1941). https://doi.org/10.1007/BF01603873

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