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A propos du «Point de départ de la métaphysique»

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Année 1938 58 pp. 253-261
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A propos du «Point de départ de la métaphysique»

Dans un numéro précédent de la Revue néoscolastique (1), le R. P. Guggenberger, C. s. s. R., met en cause, avec une parfaite bonne grâce, un aspect important de la thèse d'épistémo- logie qui remplit le Cahier V du Point de départ de la métaphysique. L'objection courtoise du Révérend Père nous offre l'occasion d'une mise au point plus générale, devenue, semble-t-il, opportune : en effet, des interprétations inexactes du Cahier V, propagées en divers milieux, menacent çà et là de cristalliser. Le mieux que nous puissions faire est, sans doute, de rétablir ici, sur quelques points décisifs, le sens authentique de nos positions essentielles. Toute polémique personnelle sera bannie des pages qui vont suivre : nous les voudrions entièrement objectives, et susceptibles, malgré leur brièveté, d'apporter une contribution positive à l'étude de problèmes doctrinaux.

I. — Sources de malentendus

A ne tenir compte, ni du rang intermédiaire d'un « 5e Cahier », dans une série de six, ni de l'horizon si particulier où doit s'enfermer, par rigueur de méthode, une enquête intitulée : Le thomisme devant la philosophie critique, on s'exposerait, assurément, au risque de méprises graves ; la plus grave serait de prêter à l'auteur cet étrange préjugé, que la Critique kantienne (il s'agit de celle-là) soit nécessairement le dernier mot de toute Critique, et que l'épistémologie thomiste, abordée par le biais des problèmes kantiens, présente, sous cet angle, la silhouette la plus parfaite qui se puisse rêver.

Une source plus importante de malentendus gît probablement

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Février 1938, pp. 46-79..

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