Hostname: page-component-848d4c4894-wg55d Total loading time: 0 Render date: 2024-05-25T16:12:34.677Z Has data issue: false hasContentIssue false

Generosity and Representation: Making Sense of a Non-Representational Model of the Passions

Published online by Cambridge University Press:  13 April 2010

Graham Mayeda
Affiliation:
University of Toronto

Abstract

Image of the first page of this content. For PDF version, please use the ‘Save PDF’ preceeding this image.'
Type
Articles
Copyright
Copyright © Canadian Philosophical Association 2002

Access options

Get access to the full version of this content by using one of the access options below. (Log in options will check for institutional or personal access. Content may require purchase if you do not have access.)

References

Notes

1 Descartes, René, The Passions of the Soul, 11 vols.Google Scholar, in Oeuvres de Descartes, edited by Adam, Charles and Tannery, Paul, rev. ed. )Paris: J. Vrin, 19641976)Google Scholar, hereafter cited as AT. All references in this article are from The Philosophical Writings of Descartes, 3 vols, translated by Cottingham, John, Stoothoff, Robert, and Murdoch, Dugald (New York: Cambridge University Press, 1985).Google Scholar

2 Descartes, , The Passions of the Soul, §71 (AT, Vol. 11, p. 381).Google Scholar

3 Marion, Jean-Luc, “Generosity and Philosophy,” in Essays on the Philosophy and Science of Rene Descartes, edited by Voss, Stephen (Oxford: Oxford Uni versity Press, 1993(, pp. 5274.CrossRefGoogle Scholar

4 Husserl, Edmund, Cartesian Meditations: An Introduction to Phenomenology, translated by Cairns, Dorian (The Hague: Martinus Nijhoff, 1960).CrossRefGoogle Scholar

5 Descartes, , The Passions of the Soul, §17 (AT, Vol. 11, p. 342).Google Scholar

6 Ibid., §25 (AT, Vol. 11, p. 347). Generosity and Representation30 9

7 Ibid.

8 Ibid., §27 (AT, Vol. 11, p. 349).

9 Ibid., §28 (AT, Vol. 11, p. 350).

10 Ibid., §29 (AT, Vol. 11, p. 350).

11 Ibid., §74 (AT, Vol. 11, p. 383).

12 Ibid., §40 (AT, Vol. 11, p. 359).

13 Ibid., §31 (AT, Vol. 11, p. 352).

14 Ibid., §39 (AT, Vol. 11, p. 358).

15 Ibid., §52 (AT, Vol. 11, p. 372).

16 Ibid., §40 (AT, Vol. 11, p. 359).

17 Ibid., §52 (AT, Vol. 11, p. 372(, and §74 (AT, Vol. 11, p. 383).

18 Ibid., §56 (AT, Vol. 11, p. 374), and §57 (AT, Vol. 11, p. 374).

19 Ibid., §57 (AT, Vol. 11, p. 375), and §61 (AT, Vol. 11, p. 376).

20 Ibid., §53 (AT, Vol. 11, p. 373).

21 Ibid., §75 (AT, Vol. 11, p. 384).

22 Ibid., §69 (AT, Vol. 11, p. 380), and §149 (AT, Vol. 11, 443 ff.)

23 Ibid., §69 (AT, Vol. 11, p. 380).

24 Ibid., §53 (AT, Vol. 11, p. 373).

25 Ibid., §149 (AT, Vol. 11, p. 444).

26 Ibid., §152 (AT, Vol. 11, p. 445).

27 “La perspective dualiste n'est jamais niée, et elle reprend la premiere place avec les considérations morales (Les Passions de l'âme-11-137 à 148): mais elle est inopérante dans la classification des passions. L'interaction ne s'exerce plus, à l'intérieur de l'homme, entre l'âme (par sa volonté) et le corps (par l'agitation des esprits et les mouvements de la petite glande), mais entre l'homme (corps et pensée ensemble, accordés dans et par la passion) et les objets de dehors, «qui meuvent les sens», «sources», «premières causes», «causes les plus ordi naires et principales» (Les Passions de l'âme-II-§51). Le sentiment par lequel je ressens en mon corps et pour lui tous mes appétits et toutes mes affections (Méditations Métaphysiques-VI, VII p.76; IX p.60) est ainsi introduit dans l'édifice de la science, comme troisieme notion primitive au lieu de rester dans -l'univers quotidien de la vie” (Beyssade, Jean-Marie, “La classification cartési enne des passions,” Revue Internationale de philosophie, 146 [1983]: 278–87, esp. p. 280).Google Scholar

28 Ibid.

29 Charles Taylor presents this as an alternative to the causal interpretation. His interpretation is based on “signification”: “Sur le plan des passions, le principe du rapport primitif qui fonde l'union de l'ame et du corps semble être ceci: quele bien-etre du corps importe à l'âme” (Taylor, Charles, “Reponse a Jean Marie Beyssade,” Revue Internationale de philosophie, 146 [1983]: 288–92, esp. p. 289).Google Scholar

30 Ibid., p. 290.

31 This seems evident from the fact that Descartes considers the source of our self-esteem to be “the exercise of our free will and the control we have over our volitions” (Ibid, §152; AT, Vol. 11, p. 445).

32 Husserl, Cartesian Meditations, §12, pp. 27-28.

33 Ibid., §18, p. 42.

34 Marion, “Generosity and Phenomenology,” p. 55.

35 Ibid., p. 56.

36 Ibid., pp. 56-57.

37 Ibid., p. 60.

38 Ibid., p. 65.

39 Descartes, , The Passions of the Soul, §147 (AT, Vol. 11, p. 440).Google Scholar

40 Ibid., §53 (AT, Vol. 11, p. 373).

41 Ibid.

42 Marion, “Generosity and Phenomenology,” p. 66, quoting Descartes, , The Passions of the Soul, §53 (AT, Vol. 11, p. 373).Google Scholar

43 Descartes, , The Passions of the Soul, §153 (AT, Vol. 11, p. 446).Google Scholar

44 Ibid., §152 (AT, Vol. 11, p. 445).

45 The volition to will is “doubly unreal,”first,because it is the novelty—a modal ity of an object—which arouses our wonder. Second, what arouses our wonder is the use of our will, which is also a modality of the will.

46 Marion, “Generosity and Phenomenology,” p. 67.

47 Descartes, Meditations on First Philosophy (AT, Vol. 7, p. 40).

48 Descartes, , The Passions of the Soul, §75 (AT, Vol. 11, p. 384).Google Scholar

49 Ibid., §40 (AT, Vol. 11, p. 359), and §52 (AT, Vol. 11, p. 372).

50 Ibid., §143 (AT, Vol. 11, p. 436).

51 Ibid., §153 (AT, Vol. 11, p. 446).

52 Heidegger, Martin, Being and Time,firstpublished in 1927, translated by Stambaugh, Joan (Albany, NY: SUNY Press, 1996), p. 127.Google Scholar

53 Descartes, , The Passions of the Soul, §91 (AT, Vol. 11, p. 397).Google Scholar

54 Descartes, , Meditations on First Philosophy (AT, Vol. 7, p. 81).Google Scholar

55 Descartes, , The Passions of the Soul, §30 (AT, Vol. 11, p. 351).Google Scholar

56 Ibid.

57 Ibid., §34 (AT, Vol. 11, p. 355).

58 Ibid., §44 (AT, Vol. 11, pp. 361–62).

59 Descartes's Letter to Elisabeth, 5.21.1643 (AT, Vol. 3, p. 665).

60 “[L]a principale case de nos erreurs est en ce que nous voulons ordinairement -nous servir de ces notions, pour expliquer les choses à qui elles n'appartien nent pas, comme lorsqu'on se veut servir de l'imagination pour concevoir la nature de l'âme, ou bien lorsqu'on veut concevoir la facon dont Tame meut le corps, par celle dont un corps est mu par un autre corps” (Ibid, 5.21.1643, [AT, Vol. 3, p. 666]).

61 “Premierement.… je remarque une grande différence entre ces trois sortes de notions, en ce que l'âme ne se concoit que par l'entendement pur; le corps, c'est-à-dire l'extension, les figures et les mouvements, se peuvent aussi connaitre naître par l'entendement aidé de l'imagination; et enfin, les choses qui appar tiennent à l'union de l'âme et du corps, ne se connaissent qu'obscurement par l'entendement seul, ni même par l'entendement aidé de l'imagination; mais elles se connaissent trés clairement par les sens” (Ibid., 6.28.1643 [AT, Vol. 3, pp. 691-92[).

62 “]L[a notion de l'union que chacun eprouve toujours en soi-même sans phi losopher” (Ibid., 6.28.1643 [AT, Vol. 3, pp. 693-94[).

63 Descartes, , The Passions of the Soul, §36 (AT, Vol. 11, p. 356).Google Scholar

64 Ibid., §38 (AT, Vol. 11, p. 358).

65 In the following passage, it is indicated that the difference between the exten sion of the soul and that of the body is that the former can admit of more than -one extension, whereas the latter cannot. “Mais, puisque votre Altesse re marque qu'il est plus facile d'attribuer de la matière et de l'extension à l'âme, que de lui attribuer la capacité de mouvoir un corps et d'en être mue, sans avoir de matière, je la supplie de vouloir librement attribuer cette matière et cette extension à Tâme; car cela n'est autre chose que la concevoir unie au corps. Et après avoir bien concu cela, et l'avoir éprouvé en soi-même, il lui sera aise de -considérer que la matière qu'elle aura attributé à cette pensee, n'est pas la pen see meme, et que l'extension de cette matiere est d'autre nature que l'extension de cette pensee, en ce que la premiere est determined a certain lieu, duquel elle exclut toute autre extension de corps, ce que ne fait pas la deuxième” ( Descartes's Letter to Elisabeth, 6.28.1643 [AT, vol. 3, p. 694]).

66 “II semble done que l'originalité de la classification des passions de l'âme, comparée a la classification des «émotions intérieures» et à la classification des mouvements passionels propres à «la machine de notre corps», confirme l'originalité de la troisiéme notion primitive comme patron ou original pour une science, qui, dans le système de la philosophic, correspond a la nature de l'homme (Lettre-Préface des Principes, IV-188(” (Beyssade, “La classification cartésienne des passions,” p. 286)

67 Marion, “Generosity and Phenomenology,” p. 69.