Couverture fascicule

Helmut Gericke, Mathematik in Antike und Orient

[compte-rendu]

Année 1990 43-4 pp. 489-490
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Page 489

(Berlin- Heidelberg-New York : Springer- Verlag, 1984), 16,5 x 24,5 cm, xn-292 p., 140 fig. Dans son contenu, le livre de H. Gericke est assez proche des leçons qu'il donnait à l'Université de Fribourg (rfa) au premier semestre ; le deuxième semestre était consacré aux mathématiques en Europe jusqu'au début des temps modernes. L'exposé proprement historique est très concis et occupe environ les deux tiers de l'ouvrage. Les pages 215-292 donnent d'abondants renseignements biobibliographiques, tables chronologiques, cartes géographiques, tableaux des différents systèmes de chiffres et un index très utile pour le lecteur. Mais une lacune est évidente : c'est l'absence de la littérature russe, d'ailleurs très abondante sur le sujet. Si l'auteur ne connaît pas le russe, cela ne signifie pas que tous les lecteurs éventuels de l'ouvrage se trouvent dans la même situation, et le nombre des gens qui peuvent au moins lire les textes scientifiques russes va en augmentant. Ajoutons que le livre est très bien illustré. Le chapitre consacré aux mathématiques pré-grecques débute par l'exposition de l'hypothèse récente de B. L. Van der Waerden sur la « mathématique néolithique ». L'auteur qualifie les conclusions du célèbre algébriste comme importantes (p. 2, 9), mais ne se range cependant pas de son côté; il faut — dit-il

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