Couverture fascicule

Ghazāli, Le tabernacle des lumières [Miškāt al-anwāar]. Traduction de l'arabe et introduction par Roger Deladrière

[compte-rendu]

Année 1988 69 pp. 117-119
doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 117

Un vol. 24 x 16 de 118 pp. Paris, Éditions du Seuil, 1981.

Voici l'ouvrage qu'attendent tous ceux qui s'intéressent à la métaphysique et à la doctrine de ce grand théologien et juriste musulman, né en 450 de l'hégire, 1058 de l'ère chrétienne.

Le Tabernacle des Lumières, remarque l'A., constitue comme une tradition de la spiritualité islamique et une justification doctrinale de celle-ci. Ce soufisme «sobre», comme on l'a parfois désigné, a trouvé en Ghazâlî son meilleur interprète et son meilleur défenseur. Ghazâlî réussissait à rassurer les docteurs de la .Loi et à calmer leurs suspicions. En asseyant solidement sur la base du Coran et de la Sunna une spiritualité orthodoxe, le maître faisait apparaître désormais le soufisme comme un prolongement naturel de la piété et de la dévotion. Si VIhyâ, «La Revivification des Sciences et des Religions» en est la parfaite démonstration et l'expression spéculative la plus complète, le Michkât en est un excellent résumé (p. 9-31).

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw