Figures

Chargement...
Couverture fascicule

Nouvelles inscriptions de Paros

[article]

doc-ctrl/global/pdfdoc-ctrl/global/pdf
doc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/textdoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/imagedoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-indoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/zoom-outdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/bookmarkdoc-ctrl/global/resetdoc-ctrl/global/reset
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
Page 421

NOUVELLES INSCRIPTIONS DE PAROS

ι

Au cours de l'hiver 1971-1972 ont été trouvées, derrière l'église de la Katapoliani, emplacement connu comme celui d'un cimetière antique, deux stèles funéraires de marbre blanc. La première (0,80x0,45x0,11 m), entièrement conservée avec son tenon d'encastrement, est un remploi (fig. 1). Elle a été découpée dans la cuve d'un de ces sarcophages à représentations multiples si fréquents à Paros ; on y a prélevé un relief dans son cadre, avec la couronne qu'il surmontait. La position de cette couronne, légèrement décentrée par rapport au relief, a obligé les seconds utilisateurs, pour assurer l'équilibre des proportions, à tailler la pierre un peu plus loin, à droite, que le cadre du relief, qui servait de limite à gauche. La stèle se trouve ainsi bordée à droite par une rainure verticale large de 4 cm, qui devait marquer la séparation entre deux sections du sarcophage, consacrées à deux personnages différents ; de la zone droite subsiste une étroite bande, à peu près de même largeur que le cadre du relief (6 cm).

Un fronton à acrotères latéraux, orné en son milieu d'une rosette simplifiée, réduite à un cercle, est incisé au-dessus du champ creusé pour recevoir le relief : au centre un homme debout, pieds nus, drapé dans son vêtement qui enveloppe le bras droit replié, tandis que la main gauche pendante devait, d'après sa position, tenir un objet que l'usure a rendu indistinct ; à sa droite un enfant dans la même attitude, en tunique courte, bras droit replié, tenant dans la main gauche un objet indiscernable. Aux quatre angles du relief, de petits trous ronds destinés à recevoir des ornements de bronze, comme en présentent beaucoup de sarcophages.

Le bas de la couronne a été rogné lors du remploi, quand on a entaillé le bas de la pierre pour ménager le tenon. Cette couronne devait renfermer seulement un nom, car on ne voit de traces de martelage qu'au milieu de l'inscription actuelle, assez grossièrement gravée et un peu à l'étroit dans les limites du cercle de feuillage. Il s'agit d'une épitaphe de type courant à Paros, en lettres lunaires carrées (h. 1. : 1,7 à 2 ; int. : 1,2 à 1), pouvant dater de la fin du ne ou du ine siècle p. C. :

doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw
doc-ctrl/page/rotate-ccwdoc-ctrl/page/rotate-ccw doc-ctrl/page/rotate-cwdoc-ctrl/page/rotate-cw