Abstract
Aristote veut prouver que la bonne amitié a sa motivation dans un objet intellectuel de plaisir. Nous agissons pour le bonheur d'autrui parce que nous trouvons que ce bonheur est quelque chose de plaisant. Le bonheur d'autrui est quelque chose de plaisant parce que c'est un bien qui nous appartient. Le bonheur d'autrui est un bien parce que quelqu'un qui est heureux possède le bien humain. Et le bonheur d'autrui nous appartient parce que nous aidons notre ami à devenir ou demeurer heureux. Notre ami devient notre ouvrage, pour ainsi dire. Aristotle appears to argue that good friendship has its motive in an object of mental pleasure. We act for the sake of the happiness of another because we find that the happiness of another is an object of pleasant apperception. The happiness of another is an object pleasant apperception because it is a good which belongs to us. The happiness of another is a good, for someone who is happy possesses human goodness. And the happiness of another belongs to us, for we help another become or remain happy. Our friend becomes our work, so to speak.