Le bonheur parfait dans les premiers commentaires latins de l'Éthique à Nicomaque

Revue de Théologie Et de Philosophie 139 (4):311-327 (2007)
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Abstract

Au début du XIIIe siècle, les maîtres de la Faculté des arts de l�Université de Paris furent les premiers à commenter les trois premiers livres de l�Ethique à Nicomaque d�Aristote, qui venaient d�être traduits en latin par Burgundio de Pise. Ils y rencontraient des conceptions diamétralement opposées à celles de la doctrine chrétienne dont leur culture était imprégnée. Alors que la théorie aristotélicienne du bonheur (eudaimonia) attribue à l�homme un rôle décisif dans la réalisation de son bonheur, les maîtres ès arts de cette époque préfèrent insister sur la perfection du bonheur transcendant et incréé. Pour commenter l�Éthique à Nicomaque, ils puisent aux sources néoplatoniciennes et dans le fonds théologique chrétien

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Irene Zavattero
University of Trento

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