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  1.  21
    Religion et politique.Daniel Sabbagh, Cécile Nicco, Didier Leit, Alain Tallon, Laurent Bourquin, François Laplanche, Monique Cottret, Pascal Dubourg Glatigny, Jacques Proust, Gabrielle Radica, Nicolas Piqué, Norbert Waszek, Pascale Busson-Martello & Julie Saada-Gendron - 2005 - Revue de Synthèse 126 (1):178-231.
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  2.  9
    Fabrice Audié, Spinoza et les mathématiques, Paris, PUPS, 2005, 197 pages, 18 €. [REVIEW]Cécile Nicco - 2007 - Astérion 5.
    Si, comme le souligne Pierre-François Moreau dans la préface, le rapport de la philosophie spinoziste aux mathématiques est « fort visible », il n’est pas pour autant facile à interpréter. En effet, l’intérêt de Spinoza pour les mathématiques est manifeste dans la forme géométrique de l’Éthique, des Principes de la philosophie de Descartes, et du premier Appendice du Court Traité ; mais elles sont aussi présentes en tant que problèmes à traiter ou comme illustrations dans la correspondance et..
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  3.  10
    Lorenzo Vinciguerra, Spinoza et le signe. La genèse de l’imagination, Paris, Vrin, 2005, 334 pages, 30 €. [REVIEW]Cécile Nicco - 2007 - Astérion 5.
    Parce que Spinoza affirme que la vérité n’a besoin d’aucun « signe », il semble que ce dernier concept n’ait pas eu toute l’attention qu’il méritait. L’auteur propose ainsi d’interroger la nature du signe, son rôle et son fonctionnement dans le cadre d’une théorie de l’imagination, et de prendre au sérieux l’idée spinoziste d’une cognitio ex signis. La première partie de l’ouvrage rapporte le signe à la sensation, interdisant par là même de réduire la signification à une théorie du langage. (...)
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  4.  8
    Pascal Sévérac, Le devenir actif chez Spinoza, Paris, Honoré Champion, 2005, 476 pages, 75 €. [REVIEW]Cécile Nicco - 2007 - Astérion 5.
    Le livre de Pascal Sévérac se présente comme la reprise de la question qui est à l’horizon de toutes les interrogations sur la philosophie spinoziste, à savoir la question éthique du passage de la servitude à la liberté, ou du pâtir à l’agir. Plus précisément, l’auteur part du constat de la nature problématique de la passivité : d’un point de vue existentiel, peut-on dire que la passivité consiste nécessairement en une vie triste ? Et d’un point de vue ontologique, l’identification (...)
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