Je lui ai associÉ un court extrait d'une revue de questions portant sur le même thème. Implicit memory is revealed when previous experiences facilitate perf on a task that does not require conscious or intentional recollection of those expces. Explicit memory is revealed when perf on a task requires conscious recolelction of previous expces. Il s'agit de defs descriptives qui n'impliquent pas l'existence de deux systs de mÉmo sÉparÉs. Historiquement Descartes est le premier ˆ faire mention de phÉnomènes de mÉmo (...) implicites, Leibniz, Maine de Biran, Bergson en ont Également parlÉ. Korsakoff (1889) avec ses travaux sur les amnÉsiques montre qu'ils sont capables d'utiliser de l'info qu'ils ont acquises dans des Épisodes rÉcents sans pour autant manifester le moindre souvenir de l'Épisode. L'interprÉtation de ces phÉnomènes Était alors que ça renvoyait ˆ des traces en mÉmoire trop tÉnues pour accèder jusqu'au champ de la conscience. Cette interprÉtation va pouvoir être ÉcartÉe par les travaux rÉcents. Thorndike a Également conduit un nbre important de travaux sur MI. Les trauvaux un peu plus rÉcents ont montrÉ qu'un apprentissage antÉrieur pouvait faciliter une perfce sans qu'il y ait ref explicite à l'Épisode d'apprentissage. On a montrÉ aussi l'effet de stimuli subliminaux, qui en tant que tels ne peuvent pas être rappelÉs consciemment, mais qui influencent la conduite ou les jugts ultÉrieurs. Par ex, la prÉsentation de formes sur des temps très courts qui excluent la possibilitÉ d'une perception consciente influence significativement lechoix de formes dans une pÉreuve ultÉrieure de choix forcÉs où les sjts doivent indiquer la forme qu'il prÉfère entre deux. Ils choisissent prÉfÉrentiellement celles qui leur ont ÉtÉ prÉsentÉes de manière subliminale. De même Bargh et al. ont montrÉ que des sjts soumis de manière subliminale ˆ des mots hostiles portent ultÉrieurement des jugts plus nÉgatifs sur une personne target. Il ya Également eu des travaux sur l'apprsge ou le condt without awareness en particulier apprsge implicite de règles de grammaire (ie le sjt peut construire de nouvelles phrases conformes ˆ la syntaxe de celles qui lui ont ÉtÉ prÉsentÉes sans pour autant petre capables d'noncer les règles de grammaire qu'il utilise) Rem: N'est ce pas un pbe de typemÉtacognition??? Enfin, tous les travaux sur le priming sont des elts en faveur de MI: Facilitation in the processing of a stimulus as a function of a recent encounter with the same stimulus. Type de perfce sur lesquels les effets de priming ont ÉtÉ dÉmontrÉs: -T‰ches de dÉcision lexicale: Le sjt doit dire si la cha"ne de caractères qu'on lui prÉsente est un mot ou pas: Le temps de latence est beaucoup plus court si la cha"ne a dÉjˆ ÉtÉ prÉsentÉe une première fois. -Mesures de temps d'identification de mots en rpÉsentation tachitoscopiques -ComplÉmentation de mots: les sjts ont tendance ˆ complÉter pour crÉer les mots qui leur ont ÉtÉ prÉsentÉs antÉrieurement. L'intÉrêt pour le paradigme de priming se retouve chez les gens qui s'intÉressent ˆ: -reconnaissance de mots et organisation lexicale. les effets de priming permettent de faire des hyps sur l'accès lexical et la reprÉsentation. -M. Épisodique: travux sur les amnÉsiques qui ne se souviennent pas qu'on vient de leur prÉsenter des mots mais qui manifestent une mÉmoire implicite lorsqu'on leur fait faire de la complÉmentation de mots. DISSOCIATION ENTRE M.I. ET M EXPLICITE 1-Si de nombreux travaux montrent que la M explicite est influencÉe par le travail d'Élaboration (profondeur de traitement) en jeu pendant la première phase d'Étude des stimuli, il semble que la MI ne le soit pas. 2-Le changt de modalitÉ (par ex auditif -> visuel) entre la phase d'Étude et la phase de test provoque une attÉnuation importante de l'effet de priming si le test est un test de MI mais pas si c'est un test de ME. 3-Les effets de primings persistent assez largement sur plusieurs jours ce qui n'est pas le cas des perfces ˆ une Épreuve de reconnaissance. 4-Les perfces sur des tests de MI ne semblent pas influencÉes par des manipulations d'interfÉrences proactives ou rÉtroactives dont on sait qu'elles influencent les perfces en ME. 5-Absce de corrÉlation entre perfces ˆ des tests de reconnaissance et perfces ˆ une Épreuve de complÉmentation de mots. SIMILARITES ENTRE PRIMING ET REMEMBERING 1- A certaines conditions les durÉes de rÉtention on des effets parallèles sur les effets de priming et les mesures de ME (REm: en partie contradictoire avec 3 ci dessus) 2-La manipulation du contexte de la liste lors de la phase d'Étude affecte ˆ la fois les perfces en reconnaissance et en identification de mots. 3- ME et MI sont influencÉes par des associations nouvellement acquises entre des paires de mots non reliÉes (Rem: contradictoires avec 4 ci dessus ??) 4- Rem: Le contraire de 1 du pt "dissociation" !!!! dans une manip particulière 5-Johnston et al. ont montrÉ que des mots identifÉs plus rapidement Étaient plus svt jugÉs comme 'old' dans une t‰che de reconnaissance que les mots identifiÉs plus lentement. Il n'est pas exclu que les phÉnomènes que l'on interprètent comme relevant de MI soient parfois de la ME involontaire cad des cas o les cues fournis dans le test conduisent ˆ un souvenir involontaire mais totalement conscient. LES INTERPRETATIONS THEORIQUES DE MI 1-Les effets de priming sur des test de MI sont attribuables ˆ l'activation temporaires de reprÉsentations ou structures de K prÉ-existantes . Cette activation est supposÉe avoir lieu de manière automatique, indÉpendamment des processus d'Élaboration nÉcessaires pour Établir de nouvelles traces Épisodiques. 2- les difÉrences entre ME et MI sont dues ˆ la nature et aux relations entre les processus d'encodage et de rÉcupÉration. Une version de cette approche est celle qui s'appuie sur la distinction entre processus dirigÉs par les donnÉes et processus dirigÉs par les concepts. Ces derniers reflètent des activitÉs initiÉes par le sjt comme l'Élaboration, l'organisation et la reconstruction, c'est sur ce type de processus que reposerait la ME alors que la MI reposerait sur des processus data-driven. 3-ME et MI renvoient ˆ des systs sous jacents diffÉrents. Pour Cohen & Squire (1984), la ME est supportÉe par une M DECLARATIVE , syst qui est en jeu dans la formation de nouvelles reprÉsentations. La MI repose sur un syst PROCEDURAL dans lequel la M se manifeste par des modifications on line de procÉdures ou opÉrations de traitement. Le syst de M Épisodique est vu comme la base pour le souvenir explicite d'evts rÉcents tandis que la M sÉmantique est responsable des perfces sur des tests de MI. Chacune de ces approches est conforme ˆ certaines des donnÉes recueillies mais pas ˆ d'autres. (shrink)
ABSTRACTEpisodic counterfactual thoughts and autobiographical memories involve the reactivation and recombination of episodic memory components into mental simulations. Upon reactivation, memories become labile and prone to modification. Thus, reactivating AM in the context of mentally generating CFT may provide an opportunity for editing processes to modify the content of the original memory. To examine this idea, this paper reports the results of two studies that investigated the effect of reactivating negative and positive AM in the context of either imagining a (...) better or a worse alternative to an experienced event, as opposed to attentively retrieving the memory without mental modification or no reactivation. Our results suggest that attentive remembering was the best strategy to both reduce the negative affect associated with negative AM, and to prevent the decay of positive affect associated with positive AM. In addition, reactivati... (shrink)
We consider the relation between past and future events from the perspective of the constructive episodic simulation hypothesis, which holds that episodic simulation of future events requires a memory system that allows the flexible recombination of details from past events into novel scenarios. We discuss recent neuroimaging and behavioral evidence that support this hypothesis in relation to the theater production metaphor.
This book brings together eminent scholars from neuroscience, cognitive psychology, literature, and medicine to discuss such provocative issues as "false ...
A variety of evidence demonstrates that memory is a reconstructive process prone to errors and distortions. However, the complex relationship between memory encoding, strength of memory reactivation, and the likelihood of reporting true or false memories has yet to be ascertained. We address this issue in a setting that mimics a real-life experience: We asked participants to take a virtual museum tour in which they freely explored artworks included in the exhibit, while we measured the participants’ spontaneous viewing time of (...) each explored artwork. In a following memory reactivation phase, participants were presented again with explored artworks, followed by novel artworks not belonging to the same exhibit. For each of these objects, participants provided a reliving rating that indexed the strength of memory reactivation. In the final memory recognition phase, participants underwent an old/new memory task, involving reactivated vs. baseline targets, and activated and baseline lures. The results showed that those targets that were spontaneously viewed for a longer amount of time were more frequently correctly recognized. This pattern was particularly true for reactivated targets associated with greater memory strength. Paradoxically, however, lures that were presented after targets associated with higher reliving ratings in the reactivation phase were more often erroneously recognized as artworks encountered during the tour. This latter finding indicates that memory intrusions, irrespective of the viewing time, are more likely to take place and be incorporated into true memories when the strength of target memory is higher. (shrink)
Ainslie offers an encompassing and compelling account of willpower, although his big-picture view comes occasionally at the cost of low resolution. We comment on ambiguity in the metacognitive and prospective mechanisms of resolve implicated in recursive self-prediction. We hope to show both the necessity and promise of specifying testable cognitive mechanisms of willpower.
Three experiments examined repetition priming for meaningful environmental sounds in a sound stem identification paradigm using brief sound cues. Prior encoding of target sounds together with their associated names facilitated subsequent identification of sound stems relative to nonstudied controls. In contrast, prior exposure to names alone in the absence of the environmental sounds did not prime subsequent sound stem identification performance at all . Explicit and implicit memory were dissociated such that sound stem cued recall was higher following semantic than (...) nonsemantic encoding, whereas sound priming was insensitive to manipulations of depth encoding . These results extend the findings of long-term repetition priming into the auditory nonverbal domain and suggest that priming for environmental sounds is mediated primarily by perceptual processes. (shrink)