L'esperienza cristiana di Francesco d'Assisi ha ispirato non solo la letteratura religiosa del suo tempo, ma ha costituito un punto di riferimento anche per l'elaborazione filosofica e teologica dei maestri francescani, come si evince dall'analisi di una questione quodlibetale di Pietro Tommaso relativa al fenomeno delle stimmate del Poverello. Il testo del maestro catalano, in confronto anche con testi simili precedenti o coevi, si presenta come un testimone interessante della temperie culturale dei primi decenni del Trecento, dal momento che analizza (...) la stimmatizzazione di Francesco non tanto per uno scopo apologetico, quanto piuttosto come come locus philosophicus grazie al quale elaborare alcune riflessioni sul rapporto tra natura e soprannatura e in merito alla potentia Dei absoluta. The Christian experience of Francis of Assisi not only inspired the religious literature of his time but also constituted a reference point for the philosophical and theological elaboration of the Franciscan masters, as it can be deduced from the analysis of a quodlibetal question of Petrus Thomae about the phenomenon of the Poverello's stigmata. The text of the Catalan master, in comparison also with similar previous or coeval texts, arises as an interesting witness of the cultural age of the fourteenth century early decades, since it analyzes the stigmatization of Francis not so much for an apologetic purpose, but rather as locus philosophicus thanks to which it is possible to elaborate some reflections on the relationship between nature and supernature and on the potentia Dei absoluta. (shrink)
Las dificultades teóricas que obstaculizan la idea de una ética constitucional -- ¿constitucionalismo global o constitucionalismo cosmopolita? -- El constitucionalismo, entre el cosmopolitismo, el universalismo y el localismo del estado nación -- El estado constitucional de derecho (o Estado constitucional de derecho, social y ambiental) y los derechos sociales -- El impacto del consenso de Washington en el derecho social colombiano, y la respuesta social desde la movilización y desde los derechos -- Los derechos, un espacio de lucha y emancipación (...) -- La autocrítica a modo de conclusión. (shrink)
En 1989, Chantal Kourilsky-Augeven publia dans le n° 18 de Droit et cultures un article intitulé « Modèle culturel russe et évolution de la régulation normative de la famille ». Analysant la culture soviétique de 1917 à la perestroïka, elle parvenait à la conclusion que « la nouvelle régulation, loin de détruire les modèles de référence antérieurs [à 1917], avait au contraire abouti à renforcer la prédominance de l'image maternelle dans la culture et les pratiques familiales. Ce renfor..
Pāṇinīyavyākaraṇodāharaṇakośaḥ; La grammaire paninéenne par ses exemples; Paninian Grammar through Its Examples, vol. IV.1–2: Taddhitaprakaraṇam; Le livre des formes dérivés secondaires; The Book of Secondary Derivatives. By F. Grimal, V. VenkataraJa Sarma, and S. Lakshminara- Simham. Rashtriya Sanskrit Vidyapeetha Series, vols. 302, 303; Collection indologie vol. 93.4.1, 2. Tirupati: Rashtriya Sanskrit Vidyapeetha; Pondichéry: École Française d’extrême-Orient; Institute Française de Pondichéry, 2015. Pp. xvi + 1397. Rs. 570 per vol.
A manera de estudio comparativo, en este artículo se propone un paralelo formal entre la física de Aristóteles y la física de Einstein. La finalidad no es la del rigor histórico. Se trata más bien de un ejercicio de análisis conceptual. En este sentido, se discute la posible similitud entre la forma..
« Sous les masques, il n’y a pas de visages, l’homme historique n’a jamais été homme, et pourtant nul homme n’est seul » : notre article s’interroge sur le sens et les enjeux éthiques de cette affirmation merleau-pontyenne énoncée dans la préface de Signes. Partant du caractère énigmatique et très inquiétant de cette thèse et constatant sa résonance avec l’affirmations deleuzienne, dans Différence et répétition, « Les masques ne recouvrent rien, sauf d’autres masques », nous avons voulu explorer la possibilité (...) de prendre pleinement au sérieux la formule merleau-pontyenne et de lui donner l’envergure d’une théorie des simulacres rendue éthiquement féconde. Le contexte, un dialogue avec Sartre et Nizan entre désenchantement, découragement et nouvelles perspectives éthiques et politiques, nous projette d’emblée dans un pensée de l’adversité et des apories indissociables de la rencontre d’autrui. Il permet également d’entrer avec Merleau-Ponty dans la quête d’une théorie éthique et politique de la communauté non exclusive de l’altérité radicale. A partir d’une analyse de la notion de masques et de ses occurrences dans les travaux de Merleau-Ponty, nous montrons que toute image est essentiellement un masque ontologiquement premier, c’est-à-dire qui ne copie ni ne recouvre une réalité plus authentique. La formulation de Signes qui nous intéresse fait d’emblée apparaître la dimension éthiquement dramatique de cette ontologie. Ce qui est en cause est une hyper-crise, une pensée de l’abîme et des ruptures de sens. Comment agir quand tout être est évasif et autre que soi? Nous aimerions montrer que surgit, dans l’oeuvre merleau-pontyenne, une tension entre une première solution pratique centrée sur la foi et une seconde voie « centrée », si l’on peut dire, sur la temporalité tourbillonnaire de l’institution. Ces deux issues pratiques, qui ne sont pas si nettement circonscrites explicitement par Merleau-Ponty, mais se déploient plutôt de texte en texte sous des formes parfois entremêlées, parfois incompatibles, doivent être, selon nous, soigneusement distinguées. La première, la solution de la foi, fait trop peu de cas du caractère trompeur de l’Urdoxa et des dangers d’une action qui ne s’inquiète pas de la mystification et des biais sur lesquels, peut-être, elle repose. La seconde, la voie de l’institution ne prétend plus surmonter le vertige, mais parvient à en faire un atout. Les masques, compris comme essentiellement instituants – en même temps qu’ils éclairent sur le sens de la notion merleau-pontyenne d’institution – peuvent retrouver un rôle éthique : passer de masque en masque sans jamais trouver de visage, autrement dit répondre à côté, c’est répondre tout de même et cela peut même être la meilleure réponse et compréhension possibles puisque les masques euxmêmes, comme institutions, sont des « visées à côté » qui réclament indéfiniment de nouvelles reprises et ont le pouvoir de relier entre elles, dans une structure de dialogue sans fin, des réinstitutions pourtant minées par une opacité à soi et aux autres. Les simulacres peuvent ainsi devenir en tant que tels notre plus grande chance : véhicules d’altérité radicale et de communication pourtant ininterrompue. Cette théorie élaborée à partir des thèses et analyses merleau-pontyennes fait place aux expériences commotionnantes, mais a, en même temps et sans contradiction, le mérite d’insister davantage, sans attendrissement, sur l’heureuse nature de l’être au lieu de déboucher sur la misosophie que développera Deleuze.“Under the masks, there are no faces: historical man has never been man, and yet, no man is alone.” This article questions the meaning and the ethical stakes of this Merleau-Pontian affirmation articulated in the preface of Signs. Beginning with the enigmatic and very worrisome character of this thesis, and while noticing its resonance with Deleuzian affirmations in Difference and Repetition—“masks recover nothing apart from other masks”—we wanted to explore the possibility of taking seriously the Merleau-Pontian formula and to give it meaning as a theory of ethically productive simulacra. The context, a dialogue between Sartre and Nizan regarding disenchantment, despondency and new ethical as well as political perspectives, immediately projects us toward the thought of adversity and the inseparable aporias in the encounter with the Other. Equally, it permits us to enter with Merleau-Ponty into a search for a political and ethical theory of the community that is not exclusive to radical alterity. Starting from an analysis of the concept of masks and its occurrences in the works of Merleau-Ponty, we show that all image is essentially first an ontological mask; that is to say, one that does not copy nor recovers a more authentic reality. The formulation in Signs which interests us immediately reveals the dramatic ethical dimension of this ontology. That which is a cause is a hyper-crisis, a thought of the damage and the rupture of meaning. How does one act when all being is evasive and other than oneself? We would like to show that what surfaces in Merleau-Ponty’s work is a tension between a primary practical solution centered on faith and a second path “centered,” if we can say this, on the turbulent temporality of the institution. These two practical issues, which are not so explicitly circumscribed by Merleau-Ponty, but which rather reveal themselves from text to text in somewhat intermingled and sometimes incompatible forms must be carefully distinguished. The first, the solution of faith, makes too little of the falsifying character of the Urdoxa and the dangers of an action that is not concerned with the mystification and biases on which, perhaps, it rests. The second, the path of the institution, does not attempt to surmount the vertigo, but nevertheless manages to hold the advantage. The masks, understood essentially as “instituted,” which at the same time clarify the meaning of the Merleau-Pontian notion of the institution, are able to rediscover an ethical role: passing from mask to mask without ever uncovering a face or, stated otherwise, responding side by side, is nevertheless a response. Moreover, this might provide an even better response and possible understanding since the masks themselves, as institutions, are proximate viewfinders which indefinitely reclaim new recoveries and which have the ability to link up with each other in a never-ending structure of dialogue regarding “reinstitutions” despite being undermined by the opacity of self and other. The simulacra can also become as they are in themselves a greatest chance: vehicles of radical alterity and communication, but uninterrupted. This theory, elaborated from the theses and analyses of Merleau-Ponty, gives way to experiences of shock, but, at the same time and without contradiction, to the right to insist further, without tenderness, on the happy nature of being instead of opening itself up to the misosophie that Deleuze will develop.“Dietro le maschere non ci sono volti, l’uomo storico non è mai stato uomo, e tuttavia nessun uomo è solo”: il nostro articolo si interroga sul senso e sulla posta in gioco etica di questa affermazione merleau-pontyana che troviamo nella Prefazione a Segni. Partendo dal tratto enigmatico e inquietante di questa tesi, e dalla constatazione della sua risonanza con l’affermazione deleuziana secondo cui “le maschere non ricoprono nulla, se non altre maschere”, abbiamo voluto esplorare la possibilità di prendere sul serio la formula merleau-pontyana ricavandone una teoria dei simulacri eticamente feconda. Il contesto, quello di un dialogo con Sartre e Nizan intorno ai temi del disincanto e delle nuove prospettive etiche e politiche, ci proietta direttamente nello spazio di un pensiero dell’avversità e delle aporie indissociabili dall’incontro con l’altro, e consente parimenti di farci strada con Merleau-Ponty in direzione di un’etica e di una politica della comunità non esclusiva della dimensione dell’alterità radicale. A partire da un’analisi della nozione di maschera e delle sue occorrenze nei testi merleau-pontyani mostriamo che ogni immagine è una maschera ontologicamente prima, che non copia e non ricopre affatto una realtà più autentica. La formulazione richiamata da Segni introduce immediatamente alla dimensione eticamente drammatica di tale ontologia. La sua posta in gioco è quella di un ipercriticismo, di un pensiero dell’abisso e dell’interruzione del senso. Come agire quando ogni essere è evasivo ed è altro rispetto a se stesso? Vorremmo mostrare che a quest’altezza si fa strada nell’opera merleau-pontyana una tensione tra una prima soluzione pratica, affidata alla dimensione della fede, e una seconda via d’uscita “incentrata”, se così si può dire, sulla temporalità spiraliforme dell’istituzione. Questi due esiti pratici, che in Merleau-Ponty non risultano nettamente ed esplicitamente circoscritti, ma si dispiegano di testo in testo dando luogo a sovrapposizioni e al limite a contraddizioni, vanno invece, a nostro avviso, accuratamente distinte. La prima, la soluzione della fede, fa troppo poco spazio al carattere ingannevole dell’Urdoxa e ai pericoli di un’azione che non si preoccupa di farsi carico delle mistificazioni e delle deformazioni su cui essa forse si fonda. La seconda, la soluzione dell’istituzione, non pretende più di oltrepassare la vertigine ma arriva a farne una risorsa. Le maschere, intese come essenzialmente istitutive, facendo luce sulla nozione merleau-pontyana di istituzione vengono a giocare un ruolo etico: passare di maschera in maschera senza mai trovare volti, in altri termini rispondere “a lato”, significa rispondere comunque e forse rispondere nel modo migliore, secondo la migliore comprensione possibile. Poiché le maschere stesse in quanto istituzioni sono delle “visées à côté” che chiamano indefinitiamente a nuove riprese e hanno il potere di legare tra loro in un dialogo senza fine una serie di re-istituzioni inevitabilmente opache a sé e agli altri. I simulacri possono così diventare, proprio in quanto simulacri, la nostra più grande chance: veicoli di alterità radicale e di comunicazione ininterrotta. Questa teoria, elaborata a partire dalle tesi e dalle analisi merleau-pontyane, consente di fare spazio a esperienze di grande momento emotivo, e allo stesso tempo, senza contraddizione, di insistere senza sentimentalismi sulla felice natura dell’essere, evitando infine la “misosophia” a cui approda Deleuze. (shrink)
Après avoir consacré à Descartes de nombreuses études, parmi lesquelles les monumentales L’homme des passions (Albin Michel, 1995) et Les Méditations métaphysiques de Descartes (PUF, 2005), ainsi que, plus récemment, Le style de Descartes (Manucius, 2013), Denis Kambouchner nous offre Descartes n’a pas dit. Ce livre contient un errata des propos prêtés à Descartes dans l’enseignement, dans les représentations collectives, dans des publications généralistes ou même dans certains travaux spécialisés, et propose de corriger quelques-unes des erreurs les plus sérieuses. D’après (...) Kambouchner, la philosophie cartésienne, en réalité très nuancée et raffinée, est régulièrement victime de simplifications excessives. (shrink)
Dans ses Carnets de captivité, Levinas fait parler le fond intime de sa pensée : la vérité humaine trouvée dans l’expérience de l’inhumanité du Stalag. Mais cette « épochè » la plus radicale oblige à se détourner du Dasein heideggérien compris comme être-au-monde. Le problème existentiel devient : « Pourquoi ai-je le droit, tout simplement, d’être, d’être moi-même? ». C’est dans cette possibilité du Néant, dans cette solitude orpheline de monde, propre au « Je suis », que réside l’accès à (...) l’origine de l’historicité. Le chemin hors de la différence ontologique et de l’athéisme présupposé par le concept de l’Être conduit hors de la tentation métaphysique de l’être fermé monadologiquement sur lui-même, vers l’extériorité salvatrice. Le nouveau commencement de la pensée qui donne une orientation à l’être-soi mortel est trouvé en Autrui, plus précisément dans l’événement d’une rencontre avec Autrui, qui parle en son propre nom et me parle. L’être-pour-la-mort reçoit un nouveau sens : répondre à Autrui depuis une solitude devenue surnaturelle, pour commencer un nouvel avenir où je suis pour moi, en tant que mortelle liberté, moi-même. La réalisation salvatrice d’une histoire humaine repose donc sur cette compréhension infinie du Temps, car la relation à Autrui crée une certaine passivité, dans laquelle l’Infini se laisse éprouver. Qu’il soit impossible que le salut vienne de moi seul, qu’il doive se produire par l’entremise d’une relation religieuse au visage d’Autrui, prouve que nous sommes « élus » pour vivre. Amour et pardon, structures authentiques de l’humanité, remplacent « l’Être ». « Salut n’est pas l’être », écrit Levinas! (shrink)
Les titres donnés à la parabole de Luc 15,11-32 évoquent le plus souvent l’un de ses personnages, le fils cadet. Les deux frères ont cependant chacun leur importance. L’élément inattendu du récit n’est ni le retour du cadet ni l’accueil qui lui est fait. Les v. 12-24, centrés sur lui, ont suscité l’empathie du lecteur et certains acquis de lecture l’ont préparé à cet accueil. La surprise du récit se trouve dans l’intervention du fils aîné: son arrivée et le sommaire (...) du v. 27 révèlent le décalage entre cette fête et celles évoquées au début du chapitre 15: la thématique ‘perdu / trouvé’ et la dimension collective de la fête ont ici disparu. Alors que l’aîné est pris dans une logique de rétribution, le père évoque la fraternité en plus de la filiation, le basculement de valeurs en plus de la rétribution. L’irruption du fils aîné, en provoquant un décalage entre l’attente du lecteur et la situation racontée, est l’occasion de réaffirmer l’importance du retournement provoqué par «trouvé / perdu». Ce changement-là permet d’entrer dans la vraie joie, celle du royaume. Le retour du cadet n’est donc pas ce qui exclut l’aîné de la fête, mais au contraire ce qui permet la fête, et permet à l’aîné d’y être invité. (shrink)
Cet essai porte sur les implications ontologiques de l’opposition métaphore / métonymie. La première partie discute l’étude faite par Gérard Genette du rôle de la métonymie et de la métaphore dans la structure du roman proustien, explorant les relations d’implications mutuelles entre les deux mouvements tropologiques. La seconde partie essaie de montrer comment cette distinction s’ancre dans la structure même de signification et – étant donné le lien constitutif entre signification et objectivité – sa pertinence ontologique première. Elle étudie d’abord (...) l’importance de la distinction dans l’émergence et la constitution des espaces politiques, avant d’en discuter deux exemples : l’unilatéralisation de re-agrégations métaphoriques dans la logique de la « grève générale » selon Sorel et le rôle des métonymies dans les stratégies léninistes. This essay attempts to approach the ontological implications of the metaphor/metonymy opposition. A first part starts with a discussion of Gerard Genette’s study of the role of metonymy and metaphor in the structuration of Proust novel and explores the relations of mutual implications between both tropological movements. A second part tries to show how this distinction is anchored in the very structure of signification, and – given the constitutive link between signification and objectivity – its primary ontological relevance. A first part studies the importance of the distinction in the emergence and constitution of political spaces. Two examples are discussed : the unilateralization of metaphorical reaggregations in the logic of Sorel’s 'general strike', and the role of 'frozen' metonymies in the design of Leninist strategies. (shrink)
Fıkıh literatüründe sünnet önemli bir yere sahiptir. Çünkü fıkhın temeli Hz. Peygamber tarafından atılmış ve fıkhın gayesini en iyi bilen ve uygulayan kendisi olmuştur. Bu sebeple şer’î amelî konularda hüküm istinbatı için müctehid imamlar, Kur’an’dan sonra sünnete başvurmuşlardır. Bununla birlikte müctehid imamlar, Hz. Peygamber’den gelen rivayetlerin bazılarını kabul ve onlarla amel etmede görüş ayrılıkları yaşamışlardır. Görüş ayrılıklarının temelinde ise sünnetin ekseriyetini teşkil eden haber-i vâhid vardır. Çünkü haber-i vâhid yapısal açıdan yalan, yanlışlık ve vehm ihtimali bulundurması yanında doğruluğu zan ile (...) sabit olması sebebiyle özellikle Hanefî usûlcülerine göre bilgi ifade etmez. Bu yönüyle haberi vâhid, mütevâtir haber kadar kuvvetli ve bağlayıcı olmayıp zannî bir bilgi ifade eder. Bu doğrultuda haber-i vâhid, “bilgi gerektirmez, zan gerektirir” şeklinde ifade edilmiştir. Bu ifade bağlamında şöyle bir soru ortaya çıkmaktadır: Haber-i vâhid, bilgi ifade etmediği halde, onunla amel edilmesi mümkün müdür? Bu sorudan hareketle zan ifade eden haber-i vâhidin hücceti ve onunla amel edilmesinin mümkün olup olmadığını, mezheplerin haber-i vâhide yaklaşımlarının nasıl olduğunu ve bu durumun cenaze bahsine ilişkin hükümlere nasıl yansıdığını ortaya koymak amacıyla bu çalışma ele alınmıştır. Dolayısıyla bu çalışmanın konusu, haber-i vâhidin hücceti için mezheplerin ileri sürdüğü farklı şartlar ve bu şartların hükümlere -cenaze namazı özelinde- etkisi ile sınırlıdır. Yöntem olarak öncelikle kavramsal çerçevede haber-i vâhidi tanımlamak, bilgi değerini ortaya koymak ve mezheplerin onunla hücceti noktasında benimsedikleri şartları tespit etmek amacıyla ilgili mezheplerin usûl eserleri incelenmiştir. Daha sonra mezheplerin benimsediği bu usûlî yöntem, cenaze bahsindeki yerini belirlemek üzere ilgili mezheplerin fürû kitapları taranmıştır. Bu metottan hareketle mezheplerin usûlde benimsediği ilkenin fürû meselelerine nasıl yansıdığı, haber-î vâhidin zannî bilgi ifade etmesine rağmen onunla amel etmenin gerekçesi ve cenazeye ilişkin bazı hükümlerde mezheplerin farklı hüküm benimsemelerinin nedeni ortaya konulacaktır. (shrink)