Immer schneller gibt es Neuerungen in Wissenschaft und Technik, in Wirtschaft und Kunst. Zeit wird knapp und organisationsbed rftig, zugleich setzt erh hte Produktivit t Zeit frei. Zeit wird wie nie zuvor als Freiheit erfahrbar, und ihre Verwandlung in Lebenssinn wird zur wichtigen Herausforderung moderner Lebensverbringung. Hermann L bbe beschreibt und analysiert sehr eindrucksvoll die Zeit-Verfassung unserer modernen Kultur."Das Buch stellt dem Leser den mehr als fraglichen Beschleunigungscharakter unserer modernen Kultur facettenreich und anschaulich vor. Spricht aus, was wir in (...) unserer Angst, uns auf der schnellen Reise selbst zu verlieren schon fast gar nicht mehr wahrnehmen wollen...". (shrink)
Dans ce livre, l’auteur élabore une critique de la notion de « banalité du mal » forgée par Hannah Arendt à partir du procès Eichmann en vue d’expliquer les crimes de masse. En reconnaissant, certes, que la banalité du mal est une formule qui a le mérite d’affirmer la dimension humaine du mal extrême « par opposition à l’idée de l’indicible d’un mal absolu et transcendant » (p. 117), Isabelle Delpla la qualifie néanmoins de « faux concept ». Del..
Dans ce livre, l’auteur élabore une critique de la notion de « banalité du mal » forgée par Hannah Arendt à partir du procès Eichmann en vue d’expliquer les crimes de masse. En reconnaissant, certes, que la banalité du mal est une formule qui a le mérite d’affirmer la dimension humaine du mal extrême « par opposition à l’idée de l’indicible d’un mal absolu et transcendant » (p. 117), Isabelle Delpla la qualifie néanmoins de « faux concept ». Del..
Hermann Weyl, one of the twentieth century's greatest mathematicians, was unusual in possessing acute literary and philosophical sensibilities—sensibilities to which he gave full expression in his writings. In this paper I use quotations from these writings to provide a sketch of Weyl's philosophical orientation, following which I attempt to elucidate his views on the mathematical continuum, bringing out the central role he assigned to intuition.
L'écologie cherche à connaître les conditions d'existence des organismes par rapport à leur milieu physique et biotique.D'une part elle étudie les exigences des organismes envers le milieu et leurs adaptations à celui-ci; d'autre part, elle recherche comment le milieu influe sur les organismes. Or, puisque chaque être vivant fait partie du milieu des autres et que sa présence et son activité modifient le milieu physique et biotique pour lui-même comme pour les autres, l'écologie est amenée à considérer en général les (...) interactions entre les facteurs constitués par les organismes ainsi que par les agents inorganiques.Toutefois, la complexité de ces interactions est telle qu'à leur analyse physico-chimique s'opposent des difficultés partiellement insurmontables. La raison en est que les multiples facteurs écologiques n'agissent pas isolément, mais en combinaison dans l'espace et dans le temps. Il en résulte des états d'équilibre relatif dont seule l'expérience multiséculaire de la nature nous révèle l'aboutissement avec certitude. Aussi bien l'écologiste qui veut en tenir compte commence-t-il ses recherches par le relevé qualitatif et quantitatif des groupements biologiques spontanés. Le chercheur les reconnaît à la constance relative de leur composition, dans les divers endroits où ils sont réalisés, constance résultant de l'équilibre relatif entre les facteurs. C'est exactement pour de tels groupements queMöbius à créé le terme de biocénose. Ainsi la biocénotique peut être considérée comme la propédeutique d'une écologie justement conçue; elle ne serait que préparatoire et provisoire si la Science pouvait un jour entièrement éclaircir le jeu des forces écologiques.Enfin en essayant de bien situer l'écologie dans le cadre des disciplines biologiques voisines, il est utile d'avoir présent à l'esprit l'ébauche suivante d'un nouveau système de la biologie:Dans mes „Analyses et synthèses biocénotiques” , j'ai discuté la conception d'Agrell, qui se base sur des stations-types préétablies. Depuis,Agrell a consacrédeux articles polémiques à soutenir que ses „Bestandestypen” s'identifient aux groupements écologiques tels que je le conçois.Il n'en est rien.Dans l'idée d'Agrell, tous les relevés provenant d'un même type de stations font a priori partie d'un même „Bestandestyp”. La conséquence en est que certaines espèces en réalité vicariantes, c'est-à-dire ne cohabitant jamais -Tetracanthella wahlgreni etFolsomia brevicauda, par exemple — se trouvent réunies, sur le papier, dans une même „communauté”. Au contraire, dans mon système, les relevés faits dans un certain type de stations sont classés tantôt dans un groupement , tantôt dans un autre , d'après leur composition faunistique servant d'indicateur. Cette différence explique amplement les discordances qu'Arell relève entre mes indices d'abondance-fréquence et les siens, discordance prouvant une fois de plus que les „Bestandestypen” et les groupements ne sont pas la même chose.Agrell qualifie de résidu l'un de mes groupements. Or, rien n'est plus résiduel queson Bestandestyp 2, qui représente l'ensemble de 7 stations sur 10, celles qui restent après avoir retranché les 3 stations de milieux extrêmes.Agrell reproche à ma méthode de laisser inclassables certains relevés dépourvusd'espèces vicariantes. Cela n'est-il pas préférable au classement de force de relevés, fragmentaires et aux calculs hasardeux basés sur des unités hétérogènes?Enfin,Agrell estime que le choix des espèces caractéristiques est subjectif. J'ai: montré qu'il ne l'est ni plus ni moins que celui des caractères spécifiques en taxonomie.Oekologie, Ethologie, Biogeographie und Biocoenotik werden noch häufig miteinander verwechselt. Diese Disziplinen lassen sich an Hand des Schemas unterscheiden, das in vorstehenden Schlussfolgerungen wiedergegeben ist. Dieses Schema ist zugleich ein Beitrag zu einem neuen, dreidimensionalen System der Biologie.Speziell wird auf den methodischen Unterschied zwischen Oekologie und Biocoenotik eingegangen. Die Biocoenotik kann als eine unentbehrliche Vorstufe der Oekologie angesehen werden, insofern sie die natürliche Vergemeinschaftung der Organismen als ein grossartiges, von der Natur selbst eingesetztes Experiment betrachtet. Ihre Aufgabe ist es, dass Ergebnis dieses Experiments zu beschreiben. Die Lebensgemeinschaften, die sie dabei unterscheidet, sind gekennzeichnet durch ihre häufig wiederkehrende, einigermassen konstante Zusammensetzung, entsprechend den relativen Faktoren-Gleichgewichten, welche sich im Laufe der Jahrhunderte einstellen. Die Lebensgemeinschaften sind aber viel leichter zu erfassen als die Faktoren-Gleichgewichte und deren biologische Bedeutung. Ihre Abgrenzung erfolgt, — wie in der Taxonomie diejenige der Arten — auf Grund objektiver Diskontinuitäten. Letztere gründen sich in der Biocoenotik auf die sich ökologisch ersetzenden Arten. Sie sind die Prüfsteine für die Grundeinheiten der Biocoenotik: die Biocoenosen.] Soweit die Organismen einer Biocoenose aufeinander einwirken, stellen sie gleichzeitig einen Konnex dar; und soweit sie in ihren Ansprüchen oder Anpassungen übereinstimmen, gehören sie auch zum gleichen Lebensformen-Typ. Es ist praktisch, drei Grössenordnungen von Biocoenosen zu unterscheiden: Synusien, Assoziationen und Biome. (shrink)
Dans cet article ici en traduction inédite, dont la première version allemande date de 2011, Hermann Schmitz s’interroge sur les éléments qui, se déployant dans l’interaction entre les édifices et la vie sensible et affective des habitants, constituent l’atmosphère d’une ville. Dans cette perspective, il met à contribution plusieurs grands concepts de sa philosophie, destinée à élucider l’expérience vécue involontaire : dynamique du corps de chair, suggestions de mouvements, caractères synesthésiques.
Les conciles, qui font partie de la vie de l’Eglise depuis les temps les plus anciens, sont fortement marqués par leur contexte culturel respectif, de sorte que l’institution a subi, au fil des siècles, nombre de changements extérieurs. Malgré cela, une même essence est reconnaissable. Ainsi, pour tous les conciles, il s’agit d’établir et de constater un consensus tant en matière de discipline ecclésiastique que dans les questions de foi. C’est en ce sens que les anciens conciles entendaient être le (...) lieu d’émergence d’un double consensus, horizontal et vertical. Malgré les aléas de l’histoire, qui malmenèrent souvent cet idéal consensuel, les conciles veulent avoir en commun avec l’Eglise leur caractère à la fois divin et humain.Councils, which have been part of the Church’s life since the earliest times, have been strongly marked by their respective cultural contexts, which has resulted in a number of exterior changes in the institution over the centuries. In spite of this, the same essence is recognizable. Thus, the point for all the councils has been to establish and state a consensus concerning ecclesiastical discipline, as well as questions of faith. It is in this sense that the early councils were understood as being the place where a twofold consensus – horizontal and vertical – would emerge. Despite the accidents of history, which often made it difficult to achieve this consensual ideal, the councils have sought to share with the Church their divine and human character. (shrink)
L’État européen est actuellement confronté à une crise difficile et dangereuse ; sa forme et son contenu ont un besoin urgent de renouvellement. Ce qui s’offre à nous pour cette réforme de la tête et des membres, à côté du bolchevisme dont les plans de révolution mondiale ne font plus aujourd’hui beaucoup parler d’eux, c’est avant tout l’exemple du fascisme. Nous avons..
L'analyse du concept de « sécularisation » et l'observation des données sociales et culturelles montrent que le « contrôle social » exercé par les institutions religieuses s'est affaibli dans nos sociétés modernes. Mais les changements dans la réalité de la vie sociale ne signifient pas la disparition de la religion : la culture sécularisée, inévitable et légitime, est une culture dans laquelle la religion, à titre de fait anthropologique, est ajustée à la différenciation et à la dynamique institutionnelle et culturelle (...) des sociétés modernes. The analysis of « secularization » and the observation of social and cultural facts point out that the « social control » operated by religious institutions is weakened in our modern societies. But the transformation of social life doesn't mean a decline of religion; secularized culture, unavoidable and legitimate, is a culture where religion, as an anthropological fact, is adapted to the institutional and cultural différenciation and dynamism of modern societies. (shrink)
We propose a French translation of the preface written by H. nov Helmholtz to the German translation of Fragments of Science by Tyndall. The German translation was by Anna von Helmholtz and Du-Bois Reymond and reviewed by H. von Helmholtz. The numbers in square brackets refer to the page numbers of the original text.RésuméNous proposons une traduction française de la préface de H. von Helmholtz à la traduction allemande des Fragments of Science de Tyndall, traduction allemande réalisée par Anna von (...) Helmholtz et Du-Bois Reymond et revue par H. von Helmholtz. Les nombres entre crochets rappellent la pagination du texte original. (shrink)