Article PDF
Literatur
Buffon,Histoire naturelle, générale et particuliére avec la description du Cabinet du Roy, Paris, Imprimerie royale, t. XIV, 1766, p. 53 sq.
Cette parenthése est un commentaire du traducteur, A.J.C.A.Dureau de La Malle. Voirinfra n. 8., p. 183–192.
Le périple d’Hannon a été traduit plusieurs fois depuis lexvii e siécle. Nous avons retenu la traduction du récit, complet selon nous, et son analyse réalisées par Adolphe J.C.A.Dureau de La Malle, dans son article «Mémoire sur le grand Gorille du Gabon,Troglodytes gorilla, déterminant la limite de la navigation d’Hannon le long des côtes d’Afrique occidentale»,Annales des sciences naturelles, Zoologie, 3,16, 1851, p. 183–192.
LouisFiguier,Les Mammiféres, Paris, Hachette, 1869, p. 576. Figuier utilise la traduction d’Eudes Deslongchamps d’aprés la version anglaise de Maltby alors que Dureau de La Malle, cf.supra n. 8 Adolphe J.C.A.Dureau de La Malle, dans son article «Mémoire sur le grand Gorille du Gabon,Troglodytes gorilla, déterminant la limite de la navigation d’Hannon le long des côtes d’Afrique occidentale»,Annales des sciences naturelles, Zoologie, 3,16, 1851, p. 183–192. s’est inspiré de celle de Thomas Falconer d 1797.
Voir á ce sujet les ouvrages de Terry L.Maple:Chimpanzee Behavior, Gorilla Behavior et Orang-Utan Behavior, La Haye, Van Nostrand, 1983, 1982, 1980 respectivement.
Thomas S.Savage & JeffriesWyman, «Notice on the External Characters and Habits ofTroglodytesgorilla: A New Species of Orang from Gaboon River, Osteology of the Same»,Journal of Natural History (Boston), 5, 1847, p. 417–443.
George H.Bourne & M.Cohen,The Gentle Giants, New York, Putnam, 1975.
Au sujet des chimpanzés, voir T. L.Maple,op. cit. supra n. 10 et JaneVan Lawick-Goodall,In the Shadow of Man, Londres, Collins, 1971. Seul l’orang-outan, parmi les pongidés, est moins agressif que le gorille. Le singe rouge n’est même pas agressif vis-á-vis de ses ennemis (les grands aigles et l’homme), se contentant de leur jeter des branches, ce qui ne l’aide pas beaucoup dans ses chances de survie. Voir au sujet de l’orang-outan: JeffreyH. Schwartz,The Red Ape. Orang-Utans and Human Origins, Londres, Elm Tree Books, 1987, etT. L. Maple,op. cit. supra n. 10.Chimpanzee Behavior, Gorilla Behavior et Orang-Utan Behavior, La Haye, Van Nostrand, 1983.
John D.Carthy & Frederick J.Ebling,The Natural History of Agression, Londres, Academic Press, 1964.
Thomas D.Pitcairn, «Agression in Natural Groups of Pongids»,in R. L.Holloway, éd.,Primate Agression, Territoriality, and Xenophobia, Londres, Academic Press, 1974, p. 241–274.
C’est le cas trés connu de la violence durhesus, étudié par Harlow, vis-á-vis des singes qui ont été obligés de grandir dans un isolement total: cf. Harry F.Harlow,Learning to Love, Chicago, Aldine, 1971.
George B.Schaller,The Mountain Gorilla. Ecology and Behavior, Chicago, University of Chicago Press, 1963,passim.
cf. T.Maple,Chimpanzee Behavior, Gorilla Behavior et Orang-Utan Behavior, La Haye, Van Nostrand, 1983, p. 99. Voir aussiinfra n. 56 et 57 On peut trouver une bonne synthése de e que l’on sait á propos du comportement du plus grand des primatesin T.Maple,op. cit. supra n. 10.Chimpanzee Behavior, Gorilla Behavior et Orang-Utan Behavior, La Haye, Van Nostrand, 1983, p. 99. Voir aussiinfra n. 56 Certains traits de leur structure corporelle nous font voir pourquoi on appelle «gorilles» les militaires sud-américains: ceux-ci ont one casquette trés surélevée devant, héritée de leurs confréres allemands des années trente, mais en plus ils ont de grandes épauliéres; l’ensemble leur donne l’air d’avoir une arcade crânienne, de grosses épaules et des jambes plus courtes relativement á leur torse et á leur tête. DianFossey,Gorillas in the Mist, Boston, Houghton Mifflin Co., 1983. et 57.
Cf.supra n. 10.
Pline Histoire naturelle, VI,xxxvi.
Mais, en fait, c’est l’étude de l’Iliade et des mythes grecs — et non pas celle de l’éthologie ou de la psychologie animale — qui nous permet de comprendre ses personnages, comme nous le montre Erling B.Holtsmarck,Tarzan and Tradition. Classical Myth in Popular Literature, Londres, Greenwood, 1981.
Cf. SamuelPurchas,Haklyutus Posthumus, or Purchas his Pilgrimes: Contaryning a History of the World in Sea Voyages & Lande Travells by Englishmen and Others..., Londres, 1625, 4 vol.
Ce comportement est typique du chimpanzé, voirsupra n. 10.
Souligné par nous. VoirI. Geoffroy Saint-Hilaire,op. cit. supra AdolpheJ.C.A. Dureau de La Malle, dans son article “Mémoire sur le grand Gorille du Gabon,Troglodytes gorilla, déterminant la limite de la navigation d’Hannon de long des côtes d’Afrique occidentale»,Annales des sciences naturelles, Zoologie, 3,16, 1851, p. 68–69 etS. Purchas,op. cit. supra n. 23 SamuelPurchas,Haklyutus Posthumus, or Purchas his Pilgrimes: Contayning a History of the World in Sea Voyages & Lande Travells by Englishmen and Others..., Londres, 1625, 4 vol., p. 982.
Souligné par nous.S. Purchas,op. cit. supra n. 23 SamuelPurchas,Haklyutus Posthumus, or Purchas his Pilgrimes: Contayning a History of the World in Sea Voyages & Lande Travells by Englishmen and Others..., Londres, 1625, 4 vol. p. 982, note.
Voir T.Maple,op. cit. supra n. 10
T. Savage &J. Wyman,op. cit. supra n. 11 «, p. 417–443.
RichardOwen, «Memoir on the Gorilla (Troglodytes gorilla Sav.)»,Proceed. Zool. Soc., Londres, 1848, p. 27–35.
Le Magazin pittoresque, t. XX, sept. 1852, p. 297.
La Grande encyclopédie, Paris, 1885–1906, reprend á l’article «Gorille» l’image utilisée par Du Chaillu.
T. S. Savage &J. Wyman,op. cit. supra n. 11, «, p. 10, traduit par nous.
Paul BelloniDu Chaillu,Explorations and Adventures in Equatorial Africa, with Accounts of the Manners and Customs of the People and of the Chase of the Gorilla, Leopard, Elephant, Hippopotamus, and others Animals, Londres, J. Murray, 1861, xviii-479 p., 18 pl., Introd.,passim.
L. Figuier,op. cit. supra n. 9,, p. 575. Même ton che CamilleFlammarion,Le Monde avant la création de l’Homme, Paris, Flammarion, 1886, p. 774–778, et dans Alfred EdmundBrehm,Merveilles de la Nature, éd. franç.Z. Gerbe, Paris, Bailliére, [1869–1870], p. 13–23.
Sur cet épisode, cf.Saturday Review, Londres, 22 juin 1861.
John EdwardGray, «Observations on Mr Du Chaillu’s Paper on “The New Species of Mammals” Discovered by him in Western Equatorial Africa»,Proceed. Zool. Soc., Londres, 1861, p. 212–213, et «Zoological Notes on Perusing Mr Du Chaillu’sAdventures in Equatorial Africa»,Ann. Mag. Nat. Hist., Londres, 1861, 3d ser.,7, p. 463–470 et8, p. 60–65.
Cf., par ex.,H. C. Bingham,Gorillas in their Native Habitat, Washington, Carnegie Inst., 1932.
Thomas H.Huxley,La Place de l’homme dans la nature, Préf. de l’auteur pour l’édition française, Paris, Bailliére, 1891, p. 237–238.
VoirG. B. Schaller,op. cit. supra n. 17. Schaller a été le précurseur de DianFossey, cf.op. cit. infra n. 57 DianFossey,Gorillas in the Mist, Boston, Houghton Mifflin Co., 1983. dans l’étude du gorille de montagne.
CarlE. Akeley a contribué á fonder la réserve des montagnes Birunga en convainquant le souverain belge de l’importance scientifique du site. Il est mort de malaria au pied des volcans et y est enterré: Cf.In Brightest Africa, New York, Garden City, 1923.
P. Du Chaillu,op. cit. supra n. 34. Traduit (par lui-même?) sous le titre:L’Afrique équatoriale, Paris, M. Lévy, 1875.
Id.,,Stories of the Gorilla Country, New York, Harper & Brothers, 1869. Publién français sous le titreAventures de chasse et de voyage chez les sauvages, Paris, M. Lévy, 1875.
VoirJ. E. Gray,op. cit. supra n. 37 «Observations on Mr Du Chaillu’s Paper on “The New Species of Mammals” Discovered by him in Western Equatorial Africa»,Proceed. Zool. Soc., Londres, 1861, p. 212–213.
P. Du Chaillu,op. cit. supra n. 42, p. 241–242. Voir aussi p. 477.
J. E. Gray,op. cit. supra n. 37 «Observations on Mr Du Chaillu’s Paper on “The New Species of Mammals” Discovered by him in Western Equatorial Africa»,Proceed. Zool. Soc., Londres, 1861, p. 212–213.
Les Fâ étaient des tribus de culture ashanti. Á propos du cannibalisme, voir NicolasSingzingre, «Cannibalisme», inEncyclopedia Universalis, Paris, 1980, suppl. t. 1, p. 330–333.
Voirsupra n. 38 et 41.
VoirP. Du Chaillu,op. cit. supra n. 42, p. 244.
P. Du Chaillu,op. cit. supra n. 42.
P. Du Chaillu,op. cit. supra n. 42., p. 349.
Cf.Buffon,op cit. supra n. 2, p. 130.
Voir DianFossey,Gorillas in the Mist, Boston, Houghton Mifflin Co., 1983.
Frémiet exposa ce groupe au Salon de 1887, ce qui lui valut une médaille d’honneur: cf.Larousse du xx e siécle, Paris, 1930, vol 3, p. 827. Cette image a-t-elle joué sur l’inconscient de Cooper, le créateur de King-Kong, cf.infra n. 62. OrvilleGoldman,The Making of King Kong, New York, Cooper et Schroedsack éds, 1975.
Heuvelmanns a montré que ce mythe est encore bien vivant en Afrique, malgré les efforts des protecteurs des primates: cf. BernardHeuvelmanns,Les Bêtes humaines de l’Afrique, Paris, Plon, 1986, en part., son iconographie.
Á propos de Tarzan, voirsupra n. 22..
Voir, au sujet de la genése de la création de King-Kong, ainsi que des techniques et trucages utilisés lors de sa version originelle, OrvilleGoldman,The Making of King Kong, New York, Cooper et Schroedsack éds, 1975.
A. Nisbet, un biographe de Lorenz, parle des années 1935–1938, passés á Altenberg, comme de ses «années de l’oie»: cf. AlecNisbet,Konrad Lorenz, a Biography, New York/Londres, Harcourt, 1976, chap.iv, p. 43 sq.
Author information
Authors and Affiliations
About this article
Cite this article
Martínez-Contreras, J. L’Émergence scientifique du gorille. Rev synth 113, 399–421 (1992). https://doi.org/10.1007/BF03181194
Issue Date:
DOI: https://doi.org/10.1007/BF03181194