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Références
De ce point de vue, l’outil de travail tout à fait indispensable,Les Établissements des jésuites en France, depuis quatre siècles, 5 vol., dir. PierreDelattre, Enghien, Institut supérieur de théologie, 1940, est parfaitement représentatif de cette tendance, mise ici au service de l’Ordre. Il faut donc rappeler que, pour les études françaises, sur les établissements d’Ancien Régime, les volumes de Marie-MadeleineCompère et DominiqueJulia,Les Collèges français,xvi e–xviii e siècle. T.I:La France du Midi; t. II:La France du Nord et de l’Ouest, Paris, Éditions du CNRS, 1984 et 1988
Voirop. cit. supra, p. 440–448.
Il s’agit desMonumenta paedagogica Societatis Iesu, Rome, Institutum Historicum Societatis Iesu, 1965–1992, dont il a déjà souvent été question dans ce volume.
Le volume que Gian PaoloBrizzi a dirigé voici presque vingt ans,La «Ratio studiorum». Modelli culturali e pratiche educative dei Gesuiti in Italia fra Cinquecento e Seicento, Rome, Bulzoni, 1981, a sans doute été décisif et continue à constituer une référence pour l’étude de ce texte.
AnnieBruter, «Entre rhétorique et politique. L’histoire dans les collèges jésuites auxvii e siècle»,Histoire de l’éducation, 74, mai 1997, p. 59–88.
On signalera, parmi les publications les plus récentes,European Universities in the age of Reformation and Counter-Reformation, éd. HelgaRobinson-Hammerstein, Dublin, Four Court Press, 1998, et tout particulièrement, GernotHeiss, «Educational politics in the Austrian lands and the foundation of the Jesuit university of Graz», p. 169–186;G. P. Brizzi, «The Jesuits and universities in Italy», p. 187–198. Plus ancien, mais consacré à l’espace germanique,R. A. Müller, «I gesuiti e le università cattoliche nell’Impero tedesco», inLe Università dell’Europa. Dal Rinascimento alle riforme religiose, dir. Gian PaoloBrizzi et JacquesVerger, Milan, Silvana Ed., 1991, p. 197–218.
On signalera à titre d’exemple, StéphaneVan Damme, «Devenir enseignant de collège auxvii e siècle. Itinéraires et expériences de formation des professeurs et régents jésuites dans la province de Lyon»,Cahiers d’histoire. Revue d’histoire critique, 71, 1998, p. 37–54.
La réflexion a été amorcée dans un article précédent, «Généalogie de laRatio studiorum», inLes Jésuites à l’âge baroque, 1540–1640, éd. LuceGiard et LouisDe Vaucelles, Grenoble, Jérôme Millon, 1996, p. 115–130. Voirsupra, p. 434–435, la notice de Pierre-AntoineFabre.
La Ratio studiorum. Plan raisonné et institution des études dans la Compagnie de Jésus. Éd. bilingue latin-français, présentation R.P. AdrienDemoustier et DominiqueJulia, trad. du latin par LéoneAlbrieux et DolorèsPralon-Julia, annot. et comment. par Marie-MadeleineCompère. Paris, Belin, 1997. 17×24, 314 p., bibliogr., index (Histoire de l’éducation).
AnnieBruter,L’Histoire enseignée au Grand Siècle. Naissance d’une pédagogie. Paris, Belin, 1997. 17×24, 237 p., bibliogr., index (Histoire de l’éducation).
GilbertDehon,L’Université de Douai dans la tourmente (1635–1765). Heurs et malheurs de la faculté des arts. Villeneuve-d’Ascq, Presses universitaires du Septentrion, 1998. 16×24, 304p., bibliogr., index (Histoire et civilisations).
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Romano, A. Histoire de l’éducation. Rev synth 120, 449–454 (1999). https://doi.org/10.1007/BF03182219
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DOI: https://doi.org/10.1007/BF03182219