Literatur
VoirJ. Kalinowski:Teoria zdań normatywnych, “Studia Logica”, Varsovie 1953, p. 113–146 (version française;Théorie des propositions normatives, p. 147–182).
VoirG. H. von Wright:An Essay in Modal Logic, Amsterdam 1951, [en particulier: Deontic Modalities, p. 46–41], même auteur:Deontic Logic, “Mind” 1951,A. N. Prior:The Paradoxes of Derivated Obligation, “Mind” 1955, p. 400–402,G. H. von Wright:A Note on Deontic Logic and Derivated Obligation, “Mind” 1956, p. 507–509; puis nos remarques à ce sujet dansDie Sollsatzproblematik in der modernen Logik, Rozpravy ČSAV, Prague 1958, p. 95 et suivantes.
Une analyse plus approfondie du procédé d'interprétation exigerait la distinction des différentes sortes de modèles. Il nous suffit d'avoir démontré que, dans ce raisonnement, il faut étudier le modèle même et les rapports valables dans ce domaine.
La possibilité de présenter une interprétation différente des valeurs logiques de vérité ou de fausseté pour les normes [impératifs] est traitée parA. Ross dansImperatives and Logic, “Theoria”, Lund, Vol. VII 1941, p. 53–71 [publié également dans “Philosophy of Science”, Vol. XI 1944, p. 30–46].
W. Dubislav:Zur Unbegründbarkeit der Forderungssätze, “Theoria”, Goeteborg, p. 339.
J. Jørgensen:Imperatives and Logic, “Erkenntnis”, t. 7, 1936–38, p. 288–296,A. Ross, op. cit. etO. Weinberger:Úvahy o logice normativních vět (“Considérations sur la logique des normes”), Filosofický časopis ČSAV, Prague 1956, p. 918–926 et l'ouvrage déjà cité:Die Sollsatzproblematik in der modernen Logik.
M. Kalinowski cite l'étude deA. Ross ci-dessus mentionnée où le dilemne deJørgensen est analysé en détail.
Voir:Können Sollsätze [Imperative] als wahr bezeichnet werden? Rozpravy ČSAV, Prague 1958, où nous étudions cette question plus en détail.
La remarque de l'auteur “au sens personnel ou impersonnel” [“osobowo lub nieosobowo”] manque de clareté.
Cette négation entraîne plusieurs problèmes. Voir ci-après.
Ces doutes proviennent du fait que le rapport entre la notion des propositions normatives et la notion des normes [phrases normatives] manque de clareté.
La formation de la classe complémentaire et du nom complémentaire suppose que nous avons défini la classe universelle à laquelle se rapporte le complément.
L'auteur ajoute la remarque suivante: “surtout celles qui ont la forme d'implication ou d'équivalence”. Il n'est pas clair si l'auteur a voulu dire que les implications et les équivalences du systèmeK 1 sont employées le plus fréquemment dansK 2 ou s'il a voulu exclure certaines thèses du systèmeK 1 de la classe des thèses auxiliaires deK 2.
Nous ne comprenons pas pourquoi l'auteur n'a pas introduit une négation analogue pour le nom de la classe des sujets d'action.
Les thèses de systèmeK 1 faisant partie du systèmeK 2, cette assertion n'est pas compréhensible. En incorporant les thèses deK 1, on accepte aussi A1, directement d'une part: cet axiome ayant la forme d'implication, indirectement d'autre part, car les thèses deK 1 sont déduites à l'aide de cet axiome.
VoirO. Weinberger:Studie k logice normativnich vět, Rozpravy ČSAV, Praha 1960.
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Weinberger, O. Théorie des Propositions Normatives. Stud Logica 9, 7–25 (1960). https://doi.org/10.1007/BF02548466
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