Abstract
Si « apocalypse » signifie aujourd’hui couramment « fin du monde », les séries post-apocalyptiques conservent une part du sens originel du mot, dans la mesure où elles comportent toujours une dimension de « révélation » quant à la nature du monde dépeint. L’article en analyse les variations, à partir du film fondateur La planète des singes et de sa suite, dans trois séries récentes ( Dark Angel, Wayward Pines, Les Chroniques de Shannara ) et interroge ce faisant la fascination contemporaine pour ce genre.