Abstract
Dans nos pays, l’appartenance à l’Eglise n’est plus liée automatiquement à une appartenance nationale ethnique ou sociale. Ceci entraîne une modification profonde des modes de référence à un message religieux. Dès lors, si l’on retient l’expression « appartenance partielle » celle ci recouvrira des réalités fort différentes: appartenance ponctuelle, appartenance critique, mais aussi référence intermittente, situations dites irrégulières ou encore référence simultanée à plusieurs traditions religieuses. Comment l’Eglise peut-elle prendre en compte, dans sa proposition d’un engagement à la suite du Christ et dans la célébration des sacrements, la diversité des personnes atteintes par le message évangélique?