Proust et Schelling – la question du Mal

Les Cahiers Philosophiques de Strasbourg 43:255-279 (2018)
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Abstract

Parmi les grands thèmes qui régissent la Recherche du temps perdu, le mal n’est pas le moindre. Plus qu’un thème, c’est une idée directrice bien qu’elle change de valeur au cours du périple. C’est sur la perversion que le narrateur attachera sa constante attention, ce qui invite à concevoir le mal par-delà la simple détermination du sensible, entreprise pour laquelle le Traité sur la liberté de Schelling sera d’un précieux apport car il conçoit le mal comme une perversion des principes. On suit ici cette ligne dans plusieurs directions en se basant sur la dialectique du bien et du mal. Une place importante est réservée à la proposition spéculative : le Bien est le Mal et à son renversement, le Mal est le Bien.

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