Clio 41:239-241 (
2015)
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Abstract
Assia Djebar, ce fut un beau nom : consolation et fierté y résonnent. Elle le choisit dès son premier roman, La Soif, paru en 1957. Celle qui était encore aux yeux de l’administration française Fatima Zohra Imalhayène, élève de l’École normale supérieure de jeunes filles, suivit les consignes de l’UGEMA, l’Union générale des étudiants algériens, et renonça à passer les examens dus. Elle ne renonça pas pour autant aux responsabilités universitaires et soutint sur le tard, en 1999, une thèse re...