Abstract
Dans ce texte, les auteurs font l’étude du comportement du conseiller en éthique du gouvernement fédéral, M. Howard Wilson, dans l’affaire de l’Auberge Grand’Mère. Ils en arrivent à la conclusion que le gouvernement fédéral, au nom de l’intégrité, devrait abolir le poste de conseiller en éthique puisque ce dernier, dans les faits, ne joue qu’un rôle de conseiller politique. Les auteurs proposent également, exemples à l’appui, de revitaliser nos démocraties parlementaires et d’en augmenter la transparence par l’entremise d’institutions publiques redevables uniquement au parlement.