Abstract
Aujourd’hui, il n’est pas possible de vivre autrement que par conspiration. Mais, aujourd’hui, il n’est pas non plus possible de vivre par complot. Pour vivre maintenant, pour créer des modes de vie, des formes de vie, nous devons chercher une conspiration sans complot, une conspiration qui soit sa propre fin, une conspiration qui soit en vue d’elle-même. Cet article déplie quelques implications de cette proposition, à travers les notions de sous-communs, d’étude, de police, de soin et de complicité.