Abstract

Malgré l’ubiquité de la question des temporalités avant, pendant, et même après la guerre, très peu d’études ont systématisé la façon dont les visions temporelles structurent la décision d’un recours à la force armée et à la praxis de la guerre. Dans les grandes théories de la guerre, le temps est le plus souvent appréhendé de manière objectiviste, au singulier, supposant l’univocité universel..