Abstract
Dans cet article ici en traduction inédite, dont la première version allemande date de 2011, Hermann Schmitz s’interroge sur les éléments qui, se déployant dans l’interaction entre les édifices et la vie sensible et affective des habitants, constituent l’atmosphère d’une ville. Dans cette perspective, il met à contribution plusieurs grands concepts de sa philosophie (la « Nouvelle Phénoménologie » développée dès les années 1960), destinée à élucider l’expérience vécue involontaire : dynamique du corps de chair (Leib), suggestions de mouvements, caractères synesthésiques.