Abstract
Depuis un peu plus d’une décennie, on assiste dans le domaine de la francophonie à un intérêt croissant des chercheurs pour la constitution de grands corpus de français parlé, si bien que le retard par rapport aux autres langues comme l’anglais, l’espagnol ou le néerlandais, que regrettaient Bilger & Blanche-Benveniste (1999), est en train de se réduire. De nombreuses publications visant à présenter les différentes bases de données existantes (Bruxelles, Mondada, Simon & Traverso, 2009) ou à...