Abstract
Tantôt nous retenons que Dieu s’est donné au temps de sa venue, mais nous pensons que le don, le message et la vie du Christ sont épuisés. […] Tantôt, en sens inverse, nous oublions que Dieu s’est donné en personne, absolument, pour croire que tout est à inventer, que l’Église n’a pas d’héritage. Sartre nous offre, semble-t-il, les moyens de bien poser le problème de notre incrédulité nouvelle, pour peu qu’on n’appauvrisse pas le sens qu’il a donné à la notion de « mauvaise foi ». Gardons-nou...