Dialogue 38 (2):445-448 (
1999)
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Abstract
Au départ, J. Jackson pose comme possible «l’examen critique des pratiques qui sont éthiquement défendables ou non défendables». Elle appelle d’emblée «vertus morales» les traits de caractère qui permettent d’éviter le mal et donc de «vivre bien». L’auteure cherche «à fournir des explications, à fournir une charpente philosophique à l’éthique des affaires». Il ne s’agira pas pour elle de décréter l’acceptable et l’inacceptable en affaires, mais de fournir aux gens d’affaires de l’information de base en vue de leurs prises de décision. Nous en venons ainsi au premier leitmotiv de l’ouvrage, la constitution d’une «carte morale» pour naviguer vers le bien. La philosophie permettra d’établir la carte et l’expérience et le jugement — l’autre leitmotiv — des gens d’affaires permettront d’en combler les détails.