A. Le principe de l’identité des indiscernables me semble de toute évidence vrai. Et je ne vois pas comment nous pourrions définir l’identité ou établir la connexion entre les mathématiques et la logique si nous ne l’utilisons pas. B. Quant à moi, il me semble de toute évidence faux. Tes difficultés de logicien mathématicien sont hors de propos. Si le principe est faux, tu n’as pas le droit de l’utiliser. A. Tu ne fais que dire qu’il est faux — et (...) même si tu le disais trois fois de suite, cel... (shrink)

After a critical presentation of the debate between absolutists and relativists regarding generality where I show that the debate is framed in a way that is bound to be harmful to the relativist’s position, I examine critically one of the customary arguments advanced against the relativist: the expressibility objection (according to which the relativist would be logically unable to express her own position). I then propose a radical way out of this debate-usually centered on semantic paradoxes-by arguing that it rests (...) on an unintelligible notion of “object”. I finally introduce a useful distinction between omnis and totus to elucidate the notions in play. (shrink)

Nous proposons une traduction inédite du fameux dialogue de Max Black intitulé « L’identité des indiscernables », paru en 1952 (Mind, vol. 61, no 242, avril 1952, 153-164) et aujourd’hui considéré comme un classique de la philosophie contemporaine. Cette traduction est précédée d’une présentation rapide du texte et du problème philosophique qu’il soulève.

Nous proposons une traduction inédite du fameux dialogue de Max Black intitulé « L’identité des indiscernables », paru en 1952 (Mind, vol. 61, no 242, avril 1952, 153-164) et aujourd’hui considéré comme un classique de la philosophie contemporaine. Cette traduction est précédée d’une présentation rapide du texte et du problème philosophique qu’il soulève.

Nous proposons une traduction inédite du fameux dialogue de Max Black intitulé « L’identité des indiscernables », paru en 1952 (Mind, vol. 61, no 242, avril 1952, 153-164) et aujourd’hui considéré comme un classique de la philosophie contemporaine. Cette traduction est précédée d’une présentation rapide du texte et du problème philosophique qu’il soulève.