Abstract
Dans cet article, je défends la position évidentialiste à propos des croyances religieuses, à la suite de la fameuse maxime de Clifford et contre l'interprétation pragmatiste de l'éthique des croyances. Je défends, en suivant Shah que le test de transparence est mieux expliqué par l'existence d'une norme de correction de la croyance. Les croyances religieuses, si elles sont des croyances, doivent obéir à cette norme. Si elles n'y obéissent pas, ce ne sont pas des croyances. Et la non croyance est une attitude parfaitement légitime.