A reflection on everyday existence in the 'sphere of consumption of late Capitalism', this work is Adorno's literary and philosophical masterpiece.

1. Bd. Moralia Horatiana; das ist, Die horazische Sittenlehre, von P. von Zesen.--2. Bd. La doctrine des moeurs, tiree de la philosophie des stoiques, par M. Le R. de Gomberville.

Este trabajo se ocupa de una interpolación textual transmitida por sólo dos manuscritos altomedievales en el capítulo que Isidoro de Sevilla dedica al libro de Job en sus Prooemia: Città del Vaticano, Bibliotheca Apostolica Vaticana Vat. Barberini 505 y Karlsruhe, Badische Landesbibliothek Cod. Augiensis Perg. 229. A partir de la transcripción del texto de ambos manuscritos y de la identificación su fuente (un pasaje de los Moralia in Iob de Gregorio Magno), ofrece una reflexión acerca de la semejanza entre (...) los procedimientos exegéticos de Gregorio e Isidoro como elemento que pudo motivar la redacción interpolada del capítulo. (shrink)

Aqua an ignis utilior - De sollertia animalium - Bruta ratione uti - De esu carnium I - De esu carnium II - Platonicae quaestiones - De animae procreatione in Timaeo - Epitome libri de animae procreatione in Timaeo.

Clifford Geertz, in his 1973 'Inspection of Cultures', brought about an epistemological revolution. This book maps the circuits of cross-fertilisations among disciplines in the humanities and social sciences that have developed from Geertz's 'interpretive turn'.

There is no clear consensus among scholars about the authenticity of the Magna Moralia. Here I present a new case for thinking that the work was composed by a later Peripatetic, and is not, either directly or indirectly, the work of Aristotle. My argument rests on an analysis of the author’s usage of ἐνέργεια, which is a fruitful way to investigate the date of the work: the term was apparently coined by Aristotle but in later antiquity came to be (...) used in ways inconsistent with Aristotle’s own usage. I argue that in several passages from the Magna Moralia the term is used in this distinctively late sense and that it is not plausible to think that this innovation could have occured in Aristotle’s own lifetime or shortly thereafter. (shrink)

Y a-t-il une seule et unique morale dont on puisse se prévaloir aujourd'hui? Les réflexions philosophiques sur la morale se sont toujours combattues, remplacées, démenties au fil du temps, tout en étant chacune valable. Le stoïcisme, la morale de la vertu, le recours à la loi morale, l'utilitarisme sont autant de courants qui irriguent encore notre façon de penser. Mais laquelle de ces "visions" choisir? Et pourquoi choisir celle-là plutôt qu'une autre? Michel Meyer opère ici un retournement de la pensée (...) traditionnelle sur l'éthique. C'est parce que l'homme est un problème pour l'homme qu'il y a des réponses qu'on appelle la morale. Michel Meyer ne part plus des sujets éthiques (Moi, l'Autre) comme référents moraux, mais de la distance, plus ou moins grande, entre les individus. C'est la variation de cette distance qui influence nos choix quant au bien et au mal, à ce que l'on recherche ou à ce que l'on veut fuir ou éviter, et qui fera qu'on sera tantôt stoïcien, tantôt utilitariste ou kantien. Le positionnement des sujets les uns par rapport aux autres conduit à agir de telle ou telle manière, donc à adopter tel ou tel type de conduite morale et à juger ce qui est bien ou mal de façon différente. Le problème moral, c'est l'Autre comme problème, auquel il convient de répondre selon la distance qui nous sépare, nous divise ou nous rapproche, et auquel on répond toujours d'ailleurs, parce qu'il constitue une menace, un appel à l'aide, ou encore la nécessité de coopérer. Sans chercher à édicter de nouvelles règles ou de nouveaux préceptes, Michel Meyer replace les grandes théories morales, comme celles d'Aristote, de Kant, de Mill ou encore de Hume, dans un espace philosophique virtuel qui est leur espace de validité. Avec le concept de distance entre les êtres, il nous offre ainsi une approche nouvelle et synthétique de la morale. (shrink)

Clifford Geertz, in his 1973 'Inspection of Cultures', brought about an epistemological revolution. This book maps the circuits of cross-fertilisations among disciplines in the humanities and social sciences that have developed from Geertz's 'interpretive turn'.

Minima moralia e un libro fondamentale per la ricostruzione del dibattito filosofico e culturale del Novecento. I suoi aforismi hanno alimentato appassionate discussioni nel mondo accademico, politico e sociale. Adorno li scrisse prevalentemente durante gli anni del suo esilio americano condensando in costellazioni concettuali i principali nuclei tematici del suo pensiero: la messa in discussione della razionalita moderna e occidentale, la critica del fascismo e della personalita autoritaria, lo smascheramento della cultura di massa e delle sue fascinazioni, la possibilita (...) di pensare filosoficamente e teologicamente l'utopia. Minima moralia parla con sorprendente freschezza alla teologia contemporanea e puo essere giustamente considerato un grande libro della tradizione cristiana. I "classici" infatti prospettano all'interno di una tradizione culturale o religiosa nuovi stili di riflessione e inediti orizzonti di ricerca, hanno inoltre il potere di avvicinare e convocare persone diverse per formazione, sensibilita e cultura. Nei singoli aforismi e all'opera un pensiero "in uscita" che non teme di riconoscere i propri limiti e non ha paura della propria incompletezza, un pensiero che rimanda costantemente ad "altro da se" scegliendo la via dell'abbassamento, mostrando la rilevanza degli scarti e dei frammenti. (shrink)