Much modern science and ethics debate is on high-profile problems such as animal organ transplantation, genetic engineering and fetal tissue research, in discourse that assumes technical tones. Other work, such as narrative ethics, expresses the failed promise of technology in the vivid detail of human experience. However, the essential nature of contemporary technology remains largely opaque to our present ethical lens on health care and on society. The limited controversies of modern science and ethics perpetuate ‘technics’, a technical, problem-solving mindset (...) that fails to grapple successfully with the complexity of technology. A critical dialectic between practice and scholarship widens the ethical conversation in nursing to consider technology as an ongoing set of daily and fundamental moral choices on how we live. Critical text on technology recovers ethics from the limits of technics, and assists nurses to develop an inherent knowedge of technology that is needed to provide ethical care in a technological world. (shrink)

Much modern science and ethics debate is on high-profile problems such as animal organ transplantation, genetic engineering and fetal tissue research, in discourse that assumes technical tones. Other work, such as narrative ethics, expresses the failed promise of technology in the vivid detail of human experience. However, the essential nature of contemporary technology remains largely opaque to our present ethical lens on health care and on society. The limited controversies of modern science and ethics perpetuate ‘technics’, a technical, problem-solving mindset (...) that fails to grapple successfully with the complexity of technology. A critical dialectic between practice and scholarship widens the ethical conversation in nursing to consider technology as an ongoing set of daily and fundamental moral choices on how we live. Critical text on technology recovers ethics from the limits of technics, and assists nurses to develop an inherent knowedge of technology that is needed to provide ethical care in a technological world. (shrink)

Dans la doctrine cartésienne du Cogito, ergo sum, on peut dégager deux idées : l’idée d’une vérité indépendante, fournissant d’elle-même des preuves suffisantes d’authenticité ; l’idée d’une évidence vécue dont toute la force tiendrait à la conscience plus ou moins riche et plus ou moins précise que le moi pourrait prendre de sa réalité intime. L’interprétation cartésienne du moi flotte entre le moi qui se définit par la pensée et le moi qui se définit par l’expérience. Kant, inspiré lui aussi (...) par le désir de résoudre au moyen d’une même notion le problème de la vérité et celui du sujet, est amené à la construction de l’aperception transcendantale ou de la conscience tout court, construction qui, à tout bien considérer, se révèle comme conception d’un moi dépersonnalisé.La « psychologie de la connaissance », élaborée par Richard Hônigswald, élude ces ambiguïtés. Elle est une branche de l’arbre néo-criticiste et veut ramener au même point la logique et la psychologie. Elle rejette l’hypothèse du moi transcendental ; elle insiste, au contraire, sur la réciprocité des rapports du sujet, de l’expérience vécue et de l’objectivité ; elle affirme une solidarité et une interdépendance réelles entre la notion de «validité » d’une part, et celle du moi psychologique, de l’autre. (shrink)