This is a critique of the idea of universality in art and science that considers the examples of Georgia O'Keeffe's work as an artist and Barbara McClintock's work as a scientist. A consideration of their lives and work brings out their differences in the inherently male fields of art and science. Their underlying commonality is found in a shared view of nature involving fluidity, concern for detail, and caring and feeling, traits often characterized as "female". This enables each of them (...) to assert her own identity in her work and contributes to its remarkable success. (shrink)

Dans la seconde moitié des années 1900, Bertrand Russell et Hugh MacColl échangèrent sans s’entendre sur les questions de l’implication et de l’existence, dans le cadre d’un débat plus général sur la nature de la logique. Il est tentant de voir dans cet échange une opposition entre le moniste logique Russell et le pluraliste MacColl. Dans cet article, j’affirme que cette interprétation est inexacte, et que les deux hommes étaient tous deux monistes, bien qu’ayant des allégeances différentes. La (...) transition du monisme au pluralisme ne s’effectue en réalité qu’à partir du début des années 1910, peu après la mort de MacColl en 1909. Les premiers signes de cette transition sont à trouver particulièrement chez le philosophe américain C. I. Lewis, le mathématicien néerlandais L. E. J. Brouwer, et le logicien polonais Jan Łukasiewicz. Ces auteurs sont des exemples de l’avènement graduel de la métalogique. (shrink)

Dans la seconde moitié des années 1900, Bertrand Russell et Hugh MacColl échangèrent sans s’entendre sur les questions de l’implication et de l’existence, dans le cadre d’un débat plus général sur la nature de la logique. Il est tentant de voir dans cet échange une opposition entre le moniste logique Russell et le pluraliste MacColl. Dans cet article, j’affirme que cette interprétation est inexacte, et que les deux hommes étaient tous deux monistes, bien qu’ayant des allégeances différentes. La (...) transition du monisme au pluralisme ne s’effectue en réalité qu’à partir du début des années 1910, peu après la mort de MacColl en 1909. Les premiers signes de cette transition sont à trouver particulièrement chez le philosophe américain C. I. Lewis, le mathématicien néerlandais L. E. J. Brouwer, et le logicien polonais Jan Łukasiewicz. Ces auteurs sont des exemples de l’avènement graduel de la métalogique. (shrink)

En plus de son œuvre logique, MacColl a aussi écrit et publié des travaux que l’on qualifierait aujourd’hui de cultural criticism. Ces écrits concernaient deux des thèmes centraux de la période victorienne : l’avancement et l’influence grandissante de la science, et le déclin de la religion. À l’image de son œuvre logique ignorée, jusqu’à très récemment, aucune attention n’a été accordée à ses œuvres littéraires ou celles relevant du cultural criticism. Cet article examine les travaux de MacColl qui (...) ne relèvent pas du domaine de la logique et discute la façon dont MacColl a approché et traité les deux thèmes de la science et de la religion. Il fournit ensuite une explication du peu d’attention accordée à ces œuvres malgré les talents intellectuels évidents de leur auteur. Cette explication impute l’oubli de l’œuvre de MacColl aussi bien à la façon dont il traite ces thèmes qu’à sa position d’outsider. En effet, MacColl vivait expatrié dans une ville provinciale française sans lien avec l’environnement culturel et littéraire de Londres. Par ailleurs, il était au sens véritable du terme, un auteur dont les sensibilités correspondent au milieu de la période victorienne, mais dont les œuvres paraissent tardivement à la fin de cette période et au cours de la période edwardienne, alors que les termes du débat sur la science et la religion avaient déjà changé. (shrink)

En plus de son œuvre logique, MacColl a aussi écrit et publié des travaux que l’on qualifierait aujourd’hui de cultural criticism. Ces écrits concernaient deux des thèmes centraux de la période victorienne : l’avancement et l’influence grandissante de la science, et le déclin de la religion. À l’image de son œuvre logique ignorée, jusqu’à très récemment, aucune attention n’a été accordée à ses œuvres littéraires ou celles relevant du cultural criticism. Cet article examine les travaux de MacColl qui (...) ne relèvent pas du domaine de la logique et discute la façon dont MacColl a approché et traité les deux thèmes de la science et de la religion. Il fournit ensuite une explication du peu d’attention accordée à ces œuvres malgré les talents intellectuels évidents de leur auteur. Cette explication impute l’oubli de l’œuvre de MacColl aussi bien à la façon dont il traite ces thèmes qu’à sa position d’outsider. En effet, MacColl vivait expatrié dans une ville provinciale française sans lien avec l’environnement culturel et littéraire de Londres. Par ailleurs, il était au sens véritable du terme, un auteur dont les sensibilités correspondent au milieu de la période victorienne, mais dont les œuvres paraissent tardivement à la fin de cette période et au cours de la période edwardienne, alors que les termes du débat sur la science et la religion avaient déjà changé. (shrink)

Music Criticism in Vienna records a culture in which musical criticism had achieved the status of a minor art form. The period covered - October 1896 to December 1897 - was an eventful time in Vienna. Bruckner died, then Brahms; Mahler arrived; premieres of works by Czech composers coincidedwith increasing tension in the Empire between Czechs and Germans; Puccini's La Boheme reached Vienna on its sensational progress around the world; and the great programme music debate continued. These events and issues (...) were recorded and debated by some two dozen critics ranging from Eduard Hanslick,widely credited with (and blamed for) raising music criticism to an art, to Heinrich Schenker. The focus of Sandra McColl's monograph is unashamedly on the critics themselves, and her reconstruction of the climate of debate about whatever music or musicians came to their notice. She illuminates theintellectual climate in which the music was created, performed and received, and provides a foundation for the study of musical criticism in the post-Hanslick generation. (shrink)

Résumé: Cet article discute de façon générale les cas dans lesquels les symboles peuvent être utilisés de façon avantageuse dans le raisonnement logique et mathématique, et aspire, par un examen des symboles déjà existants, à déterminer quelques règles ou principes, d’abord, quant à l’opportunité d’introduire de nouveaux symboles, puis, quant au types de symboles qui doivent être sélectionnés. Cet article contient aussi une brève histoire du développement graduel de la méthode symbolique propre à l’auteur, telle qu’elle a été présentée et (...) expliquée par l’auteur dans ses articles publiés dans les Proceedings of the London Mathematical Society, le Educational Times, le Philosophical Magazine, et Mind. (shrink)

Résumé: Cet article discute de façon générale les cas dans lesquels les symboles peuvent être utilisés de façon avantageuse dans le raisonnement logique et mathématique, et aspire, par un examen des symboles déjà existants, à déterminer quelques règles ou principes, d’abord, quant à l’opportunité d’introduire de nouveaux symboles, puis, quant au types de symboles qui doivent être sélectionnés. Cet article contient aussi une brève histoire du développement graduel de la méthode symbolique propre à l’auteur, telle qu’elle a été présentée et (...) expliquée par l’auteur dans ses articles publiés dans les Proceedings of the London Mathematical Society, le Educational Times, le Philosophical Magazine, et Mind. (shrink)

Originally published in 1950, this book is one of a series of studies regarding the structure of the British economy which were produced by the National Institute of Economic and Social Research after the Second World War. It was produced in collaboration with a group of leading businessmen, all of whom were concerned in one way or another with the distribution of consumer goods and dissatisfied with the existing state of knowledge about distribution. The study represented a substantial advance in (...) the knowledge of distribution and an important contribution to structural economics. It will remain of value to anyone with an interest in the development of the British economy. (shrink)

Collected works of author predominantly on Sakyapa liturgical, rituals, and sadhanas texts.

kk states that knowing entails knowing that one knows, and K¬K states that not knowing entails knowing that one does not know. In light of the arguments against kk and K¬K⁠, one might consider modally qualified variants of those principles. According to weak kk, knowing entails the possibility of knowing that one knows. And according to weakK¬K⁠, not knowing entails the possibility of knowing that one does not know. This paper shows that weak kk and weakK¬K are much stronger than (...) they initially appear. Jointly, they entail kk and K¬K⁠. And they are susceptible to variants of the standard arguments against kk and K¬K⁠. This has interesting implications for the debate on positive introspection and for deeper issues concerning the structure and limits of knowability. (shrink)

In this paper, we show that the finite model property fails for certain non‐integral semilinear substructural logics including Metcalfe and Montagna's uninorm logic and involutive uninorm logic, and a suitable extension of Metcalfe, Olivetti and Gabbay's pseudo‐uninorm logic. Algebraically, the results show that certain classes of bounded residuated lattices that are generated as varieties by their linearly ordered members are not generated as varieties by their finite members.

Fitch’s Paradox shows that if every truth is knowable, then every truth is known. Standard diagnoses identify the factivity/negative infallibility of the knowledge operator and Moorean contradictions as the root source of the result. This paper generalises Fitch’s result to show that such diagnoses are mistaken. In place of factivity/negative infallibility, the weaker assumption of any ‘level-bridging principle’ suffices. A consequence is that the result holds for some logics in which the “Moorean contradiction” commonly thought to underlie the result is (...) in fact consistent. This generalised result improves on the current understanding of Fitch’s result and widens the range of modalities of philosophical interest to which the result might be fruitfully applied. Along the way, we also consider a semantic explanation for Fitch’s result which answers a challenge raised by Kvanvig. (shrink)