Many years the academic community has been discussing issues of a universal metalanguage as the general conceptual framework of modern social and humanitarian research, especially of philosophy. The article questions the claim that the language of Western philosophy was already accepted as a unified tool in the 20th century. The peculiarities of perception and further application of Western philosophical terminology in Japan in late 19th – first half of the 20th centuries are investigated here as a factual evidence base of (...) argumentation. Special attention is given to examples of translation and interpretation of some concepts of Western origin, such as metaphysics, ethics, logic, substance, subject, etc., as observed in the works of eminent thinkers Nishi Amane, Inoue Tetsujiro, Nishida Kitaro, and Watsuji Tetsuro. The paper provides examples of new original concepts developed by modern Japanese philosophers, such as Kimura Bin, Hiromatsu Wataru et al. The author concludes that the general conceptual framework that modern philosophy operates with is a very dynamic and open system, capable of transforming in different cultural contexts and in keeping with newly emerging issues that require analysis. The article identifies factors that provide philosophical communication between different cultures at the conceptual level, that is, the presence of a common circle of problems and presence of partial overlap between the key concepts. The author poses the problem of the emergence of new approaches and ideas in a situation of “conflicting interpretations,” or incomplete equivalence of similar notions when used by the parties in a dialogue, casting doubt on possibility, necessity and reasonability of exact reproduction of meanings and “complete domestication” in other cultures. (shrink)

Watsuji's Rinrigaku (literally, the principles that allow us to live in friendly community) has been regarded as the definitive study of Japanese ethics for half a century.

A pioneering philosophical exploration, this volume seeks to clarify the function of climate as a key factor within the structure of human existence. The author takes as his starting point the argument that the phenomena of climate should be treated as expressions of subjective human existence and not of natural environments. In developing his argument, Watsuji first examines the basic principles of climate and then proceeds to examine three types of climate in detail--monsoon, desert, and meadow--and their relative impacts (...) on human experience. As both a unique guide to Japan and her culture and a penetrating philosophical study, Climate and Culture will be enlightening reading for students and scholars of modern Japanese thought. (shrink)

Fudo , publié en 1935, est l’ouvrage le plus célèbre de Watsuji Tetsuro , au-delà même de son oeuvre majeure, Éthique . Il a été reçu en effet principalement comme un essai sur l’identité japonaise. Mais définir l’identité japonaise n’était pas pour Watsuji l’objectif principal de ce livre. Fudo a été conçu en réponse à Sein und Zeit de Heidegger. À l’accent mis sur la temporalité par le maître livre, il répond en mettant l’accent sur la spatialité; et (...) à l’historialité heideggérienne , il répond par le concept de fudosei, qu’il définit comme «le moment structurel de l’existence humaine», c’est-à-dire la dynamique de la spatialité concrète où chaque être humain est engagé de par sa relation existentielle avec autrui et avec les choses de son milieu. Ce concept central, créé par Watsuji, est ici rendu par le néologisme médiance , qui exprime la dualité de l’humain concrètement replacé dans son milieu : une dimension individuelle et une dimension relationnelle , le couplage de ces deux «moitiés» de l’être s’incarnant dans l’être humain concret . La traduction porte sur le préambule et sur le premier chapitre de Fudo, où Watsuji présente puis expose sa théorie générale des milieux humains et de la médiance, ainsi que, à titre d’exemple, sur deux extraits où il interprète le milieu désertique et le milieu bucolique. (shrink)

Dans la section de Rinrigaku intitulée «L’État», Watsuji Tetsuro définit l’État en tant que «communauté éthique des communautés éthiques». Ce qu’il entend par là, c’est que l’État, pour lui, est la communauté la plus englobante, celle qui n’a pas d’égoïsme et qui place chacune des communautés de rang inférieur dans une structure totalement éthique. Watsuji voit donc l’État comme la forme la plus achevée de communauté. Il considère aussi que l’État, en tant que communauté englobante, peut moralement utiliser (...) la violence pour imposer le respect des lois qu’il édicte, parce que cette violence vient de l’autorité morale de l’État. Enfin, pour Watsuji, l’État possède de lui-même un caractère sacré, qui lui vient de la prédominance de la communauté étatique sur les individus et sur les autres communautés. (shrink)

1-3. Ō Yōmei gakuha no bu -- 4-6. Kogakuha no bu -- 7-8. Shushi gakuha no bu -- 9. Setchū gakuha no bu -- l0. Dokuritsu gakuha no bu, tsuketari Rō-Sō gakuha.