In questo testo viene discussa la tesi secondo cui sarebbe possibile una comprensione esaustiva del fenomeno amoroso sulla base dei meccanismi della chimica cerebrale. Si distinguono diversi aspetti dell'amore e si portano ragioni per le quali le chimica cerebrale può svolgere un ruolo più o meno ampio in ciascuno di essi nel fornire una spiegazione del fenomeno amoroso.

En el siglo XXI nace la neurociencia de la ética con la pretensión de ser un nuevo saber , capaz de descubrir las bases cerebrales de la conducta moral. Desde ellas algunos neurocientíficos se proponen fundamentar una ética universal. El artículo 1) analiza críticamente ese proceso de fundamentación, 2) recurre para profundizar en él a la paradoja de la cooperación humana, y 3) hace un balance de las aportaciones de la neurociencia a la ética y de sus posibilidades de fundamentar (...) una ética universal. (shrink)

L’opera filosofica di Novalis, inedita e frammentaria per ragioni biografiche, è stata a lungo trascurata. Gli studi fichtiani e l’interesse per la scienza sono alla base della sua «Enciclopedistica», nella quale la filosofia della musica ha un posto rilevante. Novalis conosce la scienza acustica del suo tempo e riconduce i rapporti tra suoni e figure a una forza formatrice presente nella natura fin dal livello inorganico. La medesima forza si presenta poi nell’uomo tramite la voce, espressione più autentica della libertà (...) assoluta dell’Io. Lungi da ogni «sentimentalismo» l’identità di uomo e natura si manifesta in una rarefatta estetica simbolica condensata da Novalis nell’immagine dell’«arpa eolia». (shrink)

Sono discusse le principali argomentazioni medico-biologiche che costituiscono il nucleo della teoria secondo la quale la morte cerebrale totale corrisponde alla morte dell'essere umano. Speciale attenzione è riservata alla normativa che disciplina l’applicazione dei criteri per l'accertamento di morte e alle critiche che hanno mostrato come attualmente la teoria che fa da sostegno a quella normativa sia stata radicalmente messa in discussione.

Le présent article fait le point sur la théorie aristotélicienne des fonctions cérébrales. La première section établit les raisons qui incitent Aristote à rejeter les théories encéphalocentristes, popularisées par certains de ses devanciers, qui faisaient du cerveau le siège des activités psychiques. Sur la base d’arguments anatomiques, Aristote conclut que le cerveau ne possède aucune fonction sensorielle ou intellectuelle. Or cette exclusion n’implique pas que le cerveau est sans importance physiologique, comme le relève la seconde section. Dans la physiologie aristotélicienne, (...) le cerveau forme avec le cœur et la méninge vascularisée un véritable système intégré de régulation thermique fondé sur l’équilibre des contraires. Tout en étant essentiel à la santé et responsable de la production du sommeil, ce système contribue en outre à l’optimisation des activités sensorielles, et partant, à l’optimisation des activités cognitives qui dépendent de la sensation. Examiner ainsi le rôle du cerveau dans toutes ses ramifications fait incidemment apprécier comment la notion de juste milieu, en l’occurrence de juste milieu thermique, permet à Aristote de problématiser l’efficacité du corps en tant qu’outil de la sensation. (shrink)

La pensée transcendantale-logique est le facteur qui détermine toute réalité. Puisqu’elle est un objet déterminé par cette pensée déterminante, la pensée anthropologique-psychologique-cérébrale ne peut point être identique à celle-ci. Il s’ensuit que la nature physique peut, sans contradiction, précéder la pensée déterminée en tant que fonction anthropologique. Toute tentative d’incorporer la pensée déterminante dans l’histoire de l’évolution ou de l’ordonner au cerveau, à l’homme, au psychisme, amène la transformation de cette pensée déterminante en une pensée déterminée, une pensée anthropologique. Ainsi (...) ces déterminations historiques et naturelles n’atteindraient plus la pensée déterminante : étant la présupposition de toute détermination, la pensée déterminante ne peut être qu’exempte de toute détermination. (shrink)

RésuméL'analyse du développement des activités électriques du cerveau chez l'enfant au moyen d'examens électro‐encéphalographiques répétés en série longitudinale nous donne l'occasion d'exprimer quelques considérations générales sur les notions d'organisation, de continuité et discontinuité du développement des fonctions cérébrales. Du point de vue méthodologique, une premihre difficulté provient de ce que la technique utilisée est à la fois objective et subjective: objective en tant qu'elle comporte un enregistrement physique très exact des activités physiologiques du cerveau, exprimées par des variations de potentiel (...) électrique , subjective du fait que les tracCs obtenus doivent être analysCs et interprétés empiriquement par un spécialist.e expérimenté. Même si I'on recourt à certains procédés physiques d'analyse des tracés , on ne peut définir objectivement que certains parametres élémentaires, tels que la fréquence, le voltage et les relations de phase. Ces méthodes d'analyse objectives restent incapables toutefois d'exprimer le 〈pattern〉, c'est‐à‐dire la configuration temporo‐spatiale de l'activité Clectrique dans ce qu'elle à d’〈essentiel〉 et de 〈général〉; elles ne peuvent se substituer entibrement à l'analyse qualitative et subjective. Une autre difficulté technique réside dans le fait que si les examens ne sont pas répétés à des intervalles suffisamment courts et égaux ou si un examen est omis, il peut résulter d'un intervalle trop grand entre deux examens une impression inadéquate de discontinuité du développement.Ces écueils méthodologiques évités, l'analyse des examens EEG en séries longitudinales montre que le développement des activités Clectriques cérébrales s'effectue de faqon continue et progressive, conformément à un plan d'organisation . Ce plan s'exprime partiellement lors dechaque examen, mais de façon compléte seulement dans le pattern définitivement organisé de l'adolescent de 15 ans. Dans cette continuité du développement, on peut distinguer toutefois certaines époques, où I'organisation du 〈pattern〉électrographique paraît s'intensifier, se précipiter et se consolider. Ces époques, qui produisent alors l'impression d'une certaine discontinuité, méritent le nom de stades. On les rencontre chez I'enfant à l'âge de 6 à 7 ans, 9 à 9,6 ans, 11 ans, 13 ans et 15 ans. Le dkveloppement complet exprimé par le 〈pattern〉 electrographique de l'adolescent de 15 ans se caractérise par une différenciation, systématisation, stabilisation et localisation des activités éklectriques cérébrales. II existe en outre une correspondance entre cette conception du développement, baske sur l'analyse d'examens Clectro‐enckphalographiques en série longitudinale et celle de Piaget et Inhelder, basée sur des tests psychologiques des fonctions cognitives: conception du développement sous forme d'une succession de paliers d'équilibre d'extension toujours plus large et de mobilité toujours plus grande en même temps que de stabilité croissante. Enfin, il existe par ailleurs une concordance entre la chronologie des stades du développement électro‐physiologique et celle du développement des fonctions cognitives. (shrink)

Although many psychiatrists regard psychopathy as a coherent scientific construction, some clinicians and philosophers regard it as irrelevant. According to the latter, psychopathy is nothing more than a means of social control. The present study focuses on the issues of the neurological bases and moral responsibility related to psychopathy. While neuroscience aims to identify dysfunctions in psychopaths, action theory and ethics tend to vindicate the hypothesis of the moral irresponsibility of the psychopath. However, rather than reinforcing the concept of psychopathy, (...) recent results in neuroscience tend to stress its incoherence. Philosophical speculations on psychopaths’ responsibility are not sufficiently empirically informed and seem to announce endless ethical debates. (shrink)

Review of a book on brain death and organ transplantation.